Le foot est l’arbre qui cache la forêt.
Défiant
la fausse compassion, à défaut d’une régulation démographique
urgente de portée planétaire, la prolifération de l’espèce
humaine conduira inéluctablement à des réactions sociétales d’une
ampleur et d’une violence sans précédents. Les évènements du
Brésil et toutes les revendications pour plus d’égalité sociale
exprimées par la foule en de nombreux pays du monde n’en sont que
les prémices.
Une
révolution chasse l’autre sans rien changer à l’ordre des
choses. Il faut se souvenir que 12 ans après cette tentative de
renversement de la pyramide sociale que fut sa Révolution, la France
avait un empereur. Démonstration s’il en est que les révolutions
n’apportent de changement qu’en haut de la pyramide, où se joue
une partie de chaises musicales, un pouvoir chassant l’autre. Mais
la pyramide demeure la même et la masse qui l’habite, à quelques
exceptions près, ne fait que changer de maîtres ou s’en donne
l’impression fugace. À défaut de sciences humaines confondant
égalité en droits avec égalités de revenus, par aveuglement ou
calcul, le bon sens et l’observation suffisent pour aboutir à un
tel constat.
La
sempiternelle objection fondée sur l’odeur de soufre de l’argent
sera vite avancée, comme si notre propre pouvoir actuel, ayant
soi-disant pour premier ennemi la richesse, n’était pas
précisément en train de faire sa cour aux capitaux du Qatar et
autres Emirats.
Pour
approfondir le sujet, afficher sur votre navigateur : Fatalitas,
l’abominable pyramide sociale.
Voir
:
http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com