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Commentaire de hommelibre

sur Une mythologie féministe


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hommelibre hommelibre 24 juin 2013 00:14

@ Colre :

Votre historienne passe sous silence l’action des femmes pendant la révolution ? Leur autonomie ? Leurs associations ? Leur violence, qui selon certains était telle que c’est une des raisons de leur mise à l’écart ? Le statut de citoyens passifs est venu après plusieurs années d’activisme féminin.

L’instruction des femmes était délaissée. C’est regrettable puisque avant la révolution elles avaient accès aux écoles non religieuses et y enseignaient même. Quant à l’instruction des hommes après la révolution, sûr que le prolétariat lisait Platon dans le texte.....

De plus, en venir à affirmer que ceux qui défendent la famille sont assimilables au régime de Vichy, cela pue la merde idéologique. Un discours de facho réac rouge. C’est une honte intellectuellement parlant d’oser écrire cela. Mais il est révélateur de ce que dit plus haut Johnford : la lutte des genres est une avancé masquée de la lutte des classes. Vous vous servez des femmes à d’autres fins.

Vous dites également que les féministes se battent contre un système. Les campagnes univoques et abusives sur la violence conjugale ne s’en prennent qu’aux hommes, qui bien sûr sont supposés incarner ce système. Votre argument est une entourloupe, il ne résiste pas au réel.

D’ailleurs vos attaques ad hominem montrent que ce n’est pas un système que vous combattez, mais bien des individus qui ont l’outrecuidance de penser autrement que la doxa, que votre doxa qui prétend être La vérité. Tout y passe avec vous pour tenter de démolir l’autre : accusation de folie, de Vichysme, de gros machiste, etc. D’ailleurs ce paragraphe que vous avez écrit pourrait s’appliquer à vous :

« La grosse conne féministe, sûre de sa supériorité, se reconnaît tout de suite à sa réaction hystérique lorsqu’un homme lui tient tête. Insupportable, et donc brutale, blessante, injurieuse. La grosse malade paranoïaque se remarque immédiatement quand on ose envisager devant elle certaines inégalités que subissent les homme : aussitôt, elle le prend pour elle ! »

Par ailleurs il n’est encore nulle part démontré que les genres soient une oppression. Ce sont des code. Vous fabriquez des victimes partout, vous y incluez même les hommes. Non, vous n’utiliserez pas les hommes dans votre délire paranoïaque. Les hommes se réveillent et ça vous emmerde. Il faudra pourtant que vous viviez avec cela.


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