Il y à un autre scandale dans le scandale ..., cela na pas été mentionnée dans l’article, cela concerne toutes les vaccins qui sont systématiquement (volontairement) équipé d’un adjuvant aluminique (sels d’aluminium) !
Et pourtant il existe une alternative non dangereuse aux sels d’aluminium qui est le phosphate de calcium.
Utilisé comme adjuvant dans les vaccins depuis près de 100 ans, l’aluminium n’a jamais apporté la preuve de son innocuité. D’ailleurs l’organisme humain na pas besoin d’aluminium, bien au contraire ... un exemple sont les déodorants équipé des sels d’aluminium ... et l’utilisation prolongé fait accroitre, de manière importante, le risque de développer un cancer de(s) sein(s) !
Depuis plusieurs années, des associations de malades mettent
en cause l’utilisation de ces adjuvants dans le déclenchement de cas du
syndrome de la myofasciite à macrophages. Cette maladie, qui se
manifeste par des symptômes tels qu’épuisement, myalgies chroniques,
douleurs articulaires et difficultés neurocognitives se révèle gravement
incapacitante et conduit le plus souvent les malades à devoir cesser
toute activité professionnelle.
source
Le conseil d’État vient de reconnaître un lien de cause à effet entre
l’aluminium utilisé comme adjuvant dans un vaccin contre l’hépatite B et
la survenue d’une myofasciite à macrophages chez un agent de la ville
de Paris. Actuellement, il n’y sur le marché aucun vaccin sans
aluminium.
La justice est lente ? Sans doute. Mais en l’occurrence, les juges ont
été plus rapides, et, peut-être, moins timorés que les autorités
sanitaires et politiques. Le 21 novembre dernier, le conseil d’État a
décidé que la myofasciite à macrophages dont souffre depuis 1996 un fonctionnaire de la ville de Paris avait très probablement été déclenchée par le vaccin contre l’hépatite B
administré préalablement à son embauche. Par conséquent, cet agent,
atteint par la maladie au point qu’il ne peut plus travailler, doit être
considéré comme victime d’un accident lié à ses fonctions, et peut
bénéficier de son salaire dans son intégralité jusqu’à ce qu’il soit
capable de reprendre son poste. source