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Commentaire de hommelibre

sur Le cauchemar de Cendrillon


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hommelibre hommelibre 26 juin 2013 00:16

De tels cas existent, malheureusement. Même si un seul cas est toujours de trop, est-il possible de les quantifier ? Au-delà de l’histoire que vous racontez, la violence physique de cet ordre concerne 2 à 2,5% de femmes victimes, et 1 à 1,5% d’hommes victimes. Il est regrettable qu’on lise encore ici que 10% des femmes en France subiraient cette forme de violence, de même qu’il est regrettable qu’elle soit toujours traitée de manière univoque, sans mentionner la violence physique faite aux hommes.

Le problème, et on le voit encore dans l’injure qui m’est faite plus haut ou parfois sur mon blog, est que ce thème ne peut pas être traité de manière rationnelle. Il dérape en permanence dans l’émotionnel et l’irrationnel, l’injure, la stigmatisation dès que l’on questionne les chiffres et leur interprétation. Signe que sous les faits il y a une guerre idéologique. On ne peut la nier : toutes les campagnes sur la violence conjugale ne traitent que des femmes victimes, jamais des hommes. Contester les chiffres qui viennent de l’Enveff (chiffres démontés par Badinter, Iacub et bien d’autres) revient à être cloué au pilori. Mais quel est donc l’intérêt de celles qui n’acceptent pas de débat rationnel ?

L’homme que vous décrivez est un malade. Comme Folcoche était une malade dans le roman de Bazin. Des dominants désaxés. Cela existe. C’est heureusement une très petite minorité des humains, hommes et femmes.


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