Bonjour Fergus. je suis d’accord. D’autant que sur les « faits », on est a peu prêt complétement fixé. Guet-apens préparé a l’avance et de sang froid par des nervis d’extrême gauche, récidivistes de la chose, contre des cibles repérées a l’avance.
Il est vraiment temps d’élargir le débat et de s’interroger sur tous les fauteurs de violence qui a un degré ou un autre justifient tous cela.
Et vous n’êtes pas le dernier. Qu’est ce que cela change que la victime ait été a science po, brillant ou pas, humaniste ou pas. Qu’est ce que vous en savez ( a part le diplôme), est ce que cela rend sa mort plus grave, moins grave ? Son agressivité plus justifiée ? Pourquoi « Morillo » devrait il a priori être condamné sur des faits ? Quid si il est innocenté sur des faits ? Vous allez contester le verdict ? Est ce que se proclamer « humaniste » justifie tous les comportements ? Approuvez vous, fort de ce que l’on sait déjà et du résultat, ce type de comportement. Approuvez vous l’idée des antifa de « Venger Meric », dénoncez vous au contraire une possible spirale de la violence et souhaitez vous ici même appeler ces jeunes gens a se calmer ? Un flic une balle, justice sociale ? est ce un slogan légitime face au décès de cet enfant ? Peut on considérer cela comme juste un léger excès du a une légitime colère ou bien comme une dérive fascisante ? les mots ont ils une importance ? Aux yeux de vos copains surement puis-qu’entre deux gamins, qu’ils ne connaissent pas plus l’un que l’autre et du même age, il affectent d’en nommer un par son prénom ( pauvre enfant) et l’autre par son nom de famille (comme un adulte responsable).
C’est bien joli de peser dans de fines balances les responsabilité éventuelle de « Morillo » et ses copains,mais il est clair que leur impact social est quand même limite. C’est bien l’interprétation de cet accident qui pose question. A ce stade, toute personne qui cherche des justifications, des explications des victimisations des moralisations, des stigmatisations, etc.. peut a mon avis a juste titre être suspectée d’une fascination assez malsaine pour l’existence présumée d’une « bonne violence » en politique. On a le droit. Se cacher derriere des faux semblants en laissant l’exécution des basses œuvres a des gamins paumes, en se contentant de les justifier moralement, ajoute a mon avis une bassesse certaine a l’hypocrisie.