Pierre,
J’ai été lire votre lien dont la conclusion est « Cuba n’est pas une société idéale ; il y manque l’initiative. Mais si l’on considère toutes les variables, il serait plus facile et bien plus rapide de bâtir un monde meilleur en corrigeant les imperfections du modèle cubain qu’en cherchant à rafistoler le nôtre. »
Alors, je demande qu’est-ce que vous entendez par une société idéale ?
Ça n’exister simplement pas. Parce qu’elle dépend de votre tempérament, de votre façon de réfléchir et de raisonner dans votre entourage.
Une société qui n’a pas d’initiative ?
Quelles sont les imperfections à vos yeux du modèle cubain ?
J’ai été à Cuba comme vous. C’est un des deux pays où je ne remettrai pas les pieds. Je crois que je suis assez clair.
Vous y avez travaillé, j’en suis fort aise. En tant qu’avocat économiste ? Pourquoi n’y êtes-vous pas resté sur place ?
Une envie de bougeotte ?
J’ai travaillé pendant 30 ans avec des Américains. J’y vu une petite partie de leur pays. Je connais leurs défauts comme leurs côtés positifs.
J’ai parlé des deux cas dans des billets. Je ne vais pas les ressortir une nouvelle fois pour avoir les mêmes laïus qui ressortent.
Des avantages et inconvénients des deux voies différentes, cela peut arranger les uns et désavantager les autres. Tout dépend du niveau de votre position. Etre dans l’environnement de Castro a des avantages indéniables.
Sa soeur a compris son autoritarisme et s’en est sortie.
Tout dépend de savoir si vous aimez la libre entreprise, pouvoir contester quand cela vous chante ou être mené par une force supérieure sans pouvoir y répliquer.