Avec tout mon respect, madame, vous qui avez du temps et des lettres, enquêtez sur la fragilité de votre Église toute puissante auprès de laquelle selon vous nos gouvernements prendraient leurs ordres :
"Les antécédents sont on ne peut plus clairs en ce qui concerne la descente aux enfers du Vatican. D’abord, c’est Mgr.
Paolo Romeo, archevêque de Palerme, qui, lors d’un voyage en Chine, en
novembre 2011 déclare que le pape serait assassiné dans douze mois. La
nouvelle est révélée par le quotidien britannique The Telegraph, le 10 février 2012, un an avant l’annonce officielle de la démission de
Benoit XVI. Quelques jours plus tard, les comptes de la banque du
Vatican sont fermés par la banque américaine J.P. Morgan pour manque de
transparence dans des transactions financières de 1.5 milliard de
dollars assimilées à du blanchiment d’argent au profit de la mafia italienne. La saga continue avec Ettore Gotti
Tedeschi, le gestionnaire de la banque du Vatican. Ce dernier est forcé
de démissionner le 24 mai 2012 trois ans après son arrivée à la tête de cette
institution avec pour mission d’assurer la transparence des
transactions. Il craint pour sa vie et ne voudrait pas avoir le même
sort que Roberto Calvi, un de ses prédécesseurs trouvé pendu sous le
pont Blackfriars à Londres en 1982. Puis c’est Master Card, Visa et American Express qui enlèvent leurs 50 terminaux du Vatican. Enfin, la situation financière du Vatican se corse quand, le 1er
janvier 2013, la Banque centrale d’Italie bloque toutes les
transactions par carte de crédit du Vatican. Cette interdiction ne sera
levée que le 13 février 2013, deux jours après la démission du pape
Benoit XVI. Coïncidences étranges !"
Creusez, creusez, il y a de quoi faire pour savoir qui dirige et qui domine ! Ne vous trompez pas de combat...