« Ceci étant, le bien ou le mal, le bon ou le mauvais, ne change en rien à l’analyse. »
La différence est de taille ! Raisonner en termes de Bien et Mal, c’est raisonner en absolus, en « idées pures ». Le bon et le mauvais renvoient à un raisonnement relatif, on est dans l’évaluation du degré de bonté). La différence est fondamentale : essayez par exemple de concilier morale kantienne (raisonnement par « idées pures ») et la morale utilitariste (raisonnement relatif), vous n’y arriverez pas.
« Quant au tabou que vous invoquez, il n’y a pas de tabou dans la recherche du co-naître notre être. »
Quel tabou ? Ce mot n’apparaît pas dans mon commentaire.
« Tout d’abord, il n’est tiré d’aucun vocabulaire et je vous prie de me communiquer un vocabulaire similaire parce que je serais heureux de savoir que ma pensée se retrouve dans d’autres pensées ».
Je ne voudrais pas vous dire de bêtise, mais il me semble bien que les concepts d’étant et de contingence sont chez Heidegger (que je n’ai pas directement lu, je ne pourrais donc pas vous donner plus de détails)
«
Libre à vous de penser que ce n’est là qu’une simple profession de foi. Pour ce qui est d’elle, vous convenez cependant que vous en êtes convaincus, et si elle est longue »Je n’ai jamais convenu en être convaincu. Et oui, de mon point de vue, arriver à la conclusion qu’un entité supérieure régit le monde, c’est une profession de foi car on est dans le domaine de la religion (explication du monde par une cause surnaturelle)
« Posez la question à vous-mêmes puisque je pense avoir répondu. D’autant plus que vous dîtes qu’elle est amateure, cruelle, ou tout. C’est tout cela, elle est « Tout »
Là encore, vous m’avez mal lu. Je la disais » « amateure », cruelle idiote ou tout simplement inexistante". J’opte avec résolution pour la dernière option.