Trop, c’est trop !
Substituant notre intérêt à l’équilibre vital, il en ira des mêmes conséquences qu’à de précédentes « révolutions » (la venue de l’énergie électrique par exemple).
Mais en tout cas, ce que nos civilisations font de leurs ressources ne contrerra pas la perpétuelle évolution physique à laquelle tout est soumis. Et je préfère avoir ça en vue que l’éternelle appropriation dont nous nous rendons responsables. Menant souvent à des situations inextricables... Et anéanties de toute façon par les effets du temps.
Pourtant, la dualité humaine pour ne pas dire la perversité, commence vraiment à me faire froid dans le dos. Merci à vous Sylvain Rakotoarison, de faire état de cette tentative légiférante. Et même si la teneur de votre article a un ton nettement angoissant pour moi.
Je me demande où s’arrêtera la course humaine dans la maîtrise à laquelle elle aspire ? Que ne savons-nous nous contenter de nos existences indivudelles ? Ces prises d’intérêts, comme on les qualifie, ne nous mèneront selon moi, qu’à encore plus d’aliénation. Déjà avec la civilisation dite humaine en avons-nous un bon aperçu, mais avec ces « progrès » (à notre unique « profit » ou plutôt celui d’intérêts dits supérieurs), que ne nous préparons-nous comme avenir ?
Heureusement me dis-je que mon terme physique ne fait lui aucun doute. Et instrumentaliser la vie comme le veulent certains acteurs de nos civilisations ne le remet pas en cause.
À l’heure actuelle, pouvons-nous encore parler d’intelligence ? Ou plutôt d’acharnement à éviter ce qui ne le peut ? Bref, on s’enfonce dans des avancées à mon sens malsaines ou au moins déséquilibrantes, sous couvert de croissance réclamée par des intervenants n’étant absolument pas désintéressés, et pour cause !
Salutations