@ franc
Ce que vous écrivez n’est pas négligeable. Plus d’une fois y ai-je aussi pensé...
Mais serai-je un tantinet soit maso, soit obnubilé, soit encore autre chose ?
Je ne me résouds pas à ignorer mes besoins vitaux. Là est la « perversité » qui me tient, car dans ces échanges électroniques, je me cultive, dans l’organisation structurelle à laquelle je contribue aussi (abusivement qualifiée de civilisée selon moi), j’y trouve mon compte puisqu’elle me permet de vivre sous un toit, de m’alimenter et prendre soin de moi même comme de mes enfants, et cætera.
Mais dans le même temps, je suis obligé de constater les dérives collectives que tout ceci implique. C’est là où je cherche à parvenir à un équilibre, ce à quoi la plupart d’entre nous parviennent, même s’il faut pour cela subir des aliénations... Autres appellations des nécessités naturelles, n’est-ce pas ?
Individuellement, je reste tenu par un certain respect qui il me semble disparaît dès qu’une collectivité s’édifie. Et il n’en reste pas moins flagrant que nous restons assujettis aux règles physiques qui bien que nous cherchions à les maîtriser (recherche sur l’embryon ou appropriation lucrative à la monsanto par exemple) n’en sont pas moins impondérables.
Plutôt donc que me faire ermite, je m’applique à rester en harmonie et avec mes idées, et avec le milieu vital auquel j’appartiens à l’instar de tout autre organisme le composant, et j’espère jusqu’au moment où mon terme viendra
Quant aux dérives collectives, qu’y puis-je ? Elles sont collectives... pas individuelle, à part peut-être pour certains « élus » parvenus à la tête d’organisations soit géopolitiques (U.S.A., Russie, E.E.E., Syrie...), soit religieuses (pas mon truc...), soit affairistes et trempant parfois, quand ce n’est pas systématique, dans des combines louches...
Bien à vous franc,
loph