Je m’incrit dans la lignée de ceux qui peuvent plus blairer les soixante-huitards. Je ferais simplement quelques nuances, je ne considére pas que les ouvriers, artisants et autres travailleurs laborieux de l’époque comme tel. Ceux ci quelquesoit les générations sont toujours les dindons de la farce. Il ne faut pas oublier que soixante-huit est essentiellement une révolution étudiantine, d’intello futur bobo à l’époque anarcho-gauchiste qui trouvaient à l’epoque scandaleux de pas pouvoir porter ce qu’il veulent et de ne pas pouvoir s’envoyer en l’air avec qui et quand ils veulent. Pour ce droit là, je veux bien effectivement leur dire merci. Pour le reste ma foi leur ambition de gauche ont perdues la foi a mesure que leur compte en banque se remplissant.
On les retrouvent depuis, généralement confortablement installés dans les administrations et autres grandes entreprises, profitants grassement du systeme, accumulant les dettes sur le dos des générations à venir. Non comptant de nous imposer le paiment de retraites que nous n’auront jamais, ils sont généralement, aussi propriétaires ou actionnaires, imposants des loyers usuriers et rendements contre-nature pour assurer leur train de vie délirant. A l’isssu de leur régne, l’economie est a genoux, la planéte en morceaux et le pire c’est qu’ils continuent à la ramener ...