@ actias,
La « dette » est artificielle,aucun état ne devrait se sentir contraint de s’endetter auprès des « marchés » financiers (mafia financière).
Dans une situation dite normale,un état conserve le pouvoir régalien (« régalien »signifie pouvoir du roi) d’émettre la monnaie (« battre » monnaie) pour financer son budget.
Si une trop grande quantité de monnaie est émise en rapport aux réserves en métaux précieux ( or et argent ) la monnaie peut se dévaluer sur le marché des devises,ce qui renchérit les importations,et génère de la « compétitivité » sur nos exportations.
Sinon,l’état rembourse sa banque nationale en ne lui payant AUCUN intérêt financier (quand bien même il en paierait,cela revient dans sa poche,ou plutôt son budget,car la banque lui appartient).
De plus,l’état peut se permettre d’émettre de la monnaie pour financer des « grands travaux » (de type TGV,énergies renouvelables,grands projets éducatifs ou de santé publique) qui au bout du compte lui rapporteront de l’argent.
La « dette » n’est pas la résultante du laxisme de la population qui aurait vécu « au dessus de ses moyens »,mais la résultante de la haute trahison de nos responsables politiques qui ont bradé notre indépendance et nous ont soumis à l’esclavage des « marchés » financiers, cf.la loi Pompidou du 1er janvier 1973,réactualisée par la traitrise de Lisbonne.
Il nous serait toujours possible de revenir à ce système vertueux,mais nous nous heurterions aux résistances de nos politiques-traitres et de leurs commanditaires ou donneurs d’ordre,qui disposent des moyens de police et de l’armée pour empêcher tout mouvement réellement émancipateur.
A moins de disposer des forces armées,c’est donc impossible....