fin :
L’eau est partout, elle sillonne tout le territoire sous forme d’étroits ruisseaux, les uns paisibles, d’autres dévalant, incrustés dans le sol. Paul sur ce marché glisse sur une marche et se fait un mal aux côtes dont il se serait passé .
Demandant notre chemin à un ancien du village celui ci indique tu vas à droite après le carrefour, ensuite après le pont tu vas à droite, et quand tu vois l’usine à bois tu vas à droite. Et n’oubliez pas, ici à droite c’est pas à gauche. Avec une verve intraduisible même sur grand écran.
Arrivés à Landos une fois de plus casse-croûte chez un bistrot avec tables à l’extérieur et femme grande jusqu’en haut. Les participants sont tous d’accord pour remettre ça l’ année prochaine. Christian me prête son Laguiole, avec mes dents je mange des fines tranches de sauce, voilà t’y pas qu’il me mange mes tranches… je pouvais rien dire c’était son couteau. Je pars le premier en faisant la bise à mes amis motards. L’ air dégagé fringant et décontracté. Salut les amis. 3 kilomètres plus loin les larmes coulent… la vie devrait être comme ça, on a jamais ni parlé politique ni religion argent ou autre sujet gnagnagna, on partageait juste des bons moment d’amitié, et aucun d’entre nous n’a jamais voulu être plus intelligent que l’autre, un voyage que je suis pas prêt d’oublier. Salut les potes, à l’année prochaine et merci pour tout.
C’était une tranche de bonheur avec Nini (Daniel), Jean-Marie, Christian, Paul et Robert.
Pourvou qué sa douré…..
Rocla