Si on prend un peu de hauteur pour chercher les responsables, la partie visible, le locataire et le propriétaire sont fautifs.
L’un parce qu’il ne paie pas le loyer, l’autre parce qu’il n’emploie pas la bonne procédure.
Maintenant, les faits sont là. Les pouvoirs publics, les associations n’ont pas résolut le problème concrètement, et pire, la seule solution trouvée est une médiatisation du problème et une stigmatisation des « visibles » le locataire et le propriétaire.
Mais les faits sont là, les pouvoirs publics, les associations n’ont pas résolut ce problème simple.
En France 50% des aides publiques ne sont pas réclamées. La complexité, l’officialisation du statut de débiteur ou de pauvre montre que l’état n’est pas le bon interlocuteur.
L’association de Chalot, agit comme un syndicat, elle médiatise et réclame à l’état ou stigmatise un propriétaire qui n’a pas respecté la forme de la loi, mais qui visiblement aux vues de l’insolvabilité du locataire, même en justice n’obtiendra jamais réparation. Il apparaît donc que l’association de Chalot n’arrange rien et ne correspond pas au besoin. Elle utilise l’alibi de la pauvreté. Si c’était une vraie association caritative, son action serait tournée vers les individus et leur générosité. Pas vers l’état.
En réalité ces gens ont besoin d’une aide directe. Qui soulage à la fois le locataire, qui ne toute façon, à moins de gagner au loto ne pourra jamais payer les loyers de retard, et qui paiera le locataire.
En réalité il n’existe qu’une forme qui puisse répondre à ce genre de problème. Une fondation caritative. La seule aide qui soient donnée macro économiquement en fonction des réalités, et non de manière aveugle en fonction de critères bureaucratiques. La seule qui n’aide que quand c’est nécessaire et n’enferme pas dans la dépendance.
Dans cette histoire les vrais coupables sont les pouvoirs public et les associations subventionnées qui ne servent à rien.