Mme
Rosemar,
auprès de vous je m’excuse d’user de votre fil de façon si imposante,
mais contrairement à ce que vous jugez et finirez par constater, je ne perds
pas mon temps, je le donne et n’écris pas à l’économie. A cette heure bien
matinale, j’attends toujours une réponse de votre part, ainsi que l’accord de
Mr Fatizo à une réponse à apporter à son entrée dans les lieux, lui qui n’y fut
en rien convié.
De
plus je découvre avec une déception indéfinissable et probablement avant
beaucoup de monde, votre article du jour, trois petit points toujours, c’est
votre signature je pense, l’alarmisme à tout va.
Oserais-je
vous déposer un commentaire sur ce que je pense de cet article politico-sexuel,
surtout que là, vous avez fait fort, très fort, je vous cite (juste un
passage court, promis) :
« En fait, plus qu’à des réunions
libertines, ces soirées faisaient songer à de la "consommation
sexuelle« voire à un »carnage avec un tas de matelas au sol".
Or, Dominique Strauss-Kahn a toujours prétendu ignorer la profession des
participantes à ces « ébats » sexuels, ce qui paraît fort improbable. »
En
effet, cela parait fort peu crédible de probabilité.
Une
simple remarque, vous arrive-t-il d’imaginer ce que sera le fil de votre
article en fin de journée, en mesure de l’humour de vos admirateurs ?
Surtout avec un billet comme celui-ci ?
Ce
n’est plus des perches que vous leur tendez, alors si vous et la modération
d’AgoraVox puissiez m’entendre, fermez tout de suite l’accès aux commentaires
sur cet article, car sans ce subterfuge technique, ça va vraiment être gore à
voxlonté et luxure sans pitité, et je n’interviendrais pas, sauf pour éviter le
pire.
Bonne
journée Mme Rosemar, mais n’oubliez pas de me répondre s’il vous plait.
P.S : Allez-y, 3, 2, 1, moinssez !