Et ça gêne qui, qu’il y ait 800.000 varicelles en France ? Au moins, ceux qui l’attrappent sont surs de ne plus la revoir. Le vaccin a-t-il ce pouvoir ? Clairement non. Bien sûr, avec le vaccin, on l’aura plus tard, mais on l’aura quand même. Simplement, on l’aura à un âge où c’est salement plus embêtant.
Et dans dix ans, dans 20 ans, elle disparaîtra, sans que le vaccin y soit pour quoi que ce soit.
Elle sera remplacée par une autre maladie virale, et les fanatiques recommenceront leur cirque (sauf si, comme je le crois, la réalité de l’escroquerie vaccinale éclate au grand jour d’ici là)..
Avant qu’on ait épuisé tous les virus de la terre, il coulera de l’eau sous les ponts, il y en a des centaines de milliers, prêts à prendre la relève.
Aussi, vacciner, c’est prendre le problème à l’envers, tenter de remplir une bassine percée.. C’est l’organisme qu’il faut fortifier, pour qu’il sache se défendre de façon polyvalente et universelle, ce qu’il fait d’ailleurs fort bien depuis des millions d’années. Or les vaccinations multiples l’affaiblissent, le mutilent, par trop de stimulations artificielles et trop d’additifs toxiques.
Nous sommes entrés dans un monde de fous, où le moindre risque doit être couvert par une assurance. Les maladies sont agitées comme des épouvantails, dans le seul but de faire peur. Un peu comme le terrorisme, qui n’a qu’une faible réalité au jour le jour, mais qu’on monte en épingle. Dans les deux cas, ce sont des milliards qu’il faut prendre dans nos poches : c’est d’ailleurs le but, toujours le même.
Bill Gates (eugéniste notoire) dépense des milliards pour payer des vaccins aux pauvres d’Afrique. Il ferait mieux de placer son argent dans des puits et de la nourriture, qui seraient bien plus efficaces dans la prévention des maladies.
Mais il semble que la santé n’est pas vraiment son but, mais bien plutôt la réduction de la population mondiale, et les vaccins sont un moyen d’y parvenir. Ce qu’il dit clairement d’ailleurs.