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Commentaire de Jason

sur Des salariés du Royaume-Uni sont toujours à l'époque de Dickens


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Jason Jason 11 août 2013 14:50

Ce qui est vraiment en jeu ici, c’est la notion de risque, d’aléas du marché, vus uniquement du côté de l’employeur. Ce dernier ne veut plus assumer seul les fluctutions de son chiffre d’affaires sur des produits soit saisonniers, soit liés à une clientèle au comportement tès variable. Mais bien sûr, il ne partage pas les profits.

L’employeur gère son entreprise et l’employé gère sa précarité. Tout cela au nom de l’efficacité économique. Personne, au niveau des imbéciles de législateurs ne semble y trouver à redire.

Le risque de l’employé doit être couvert au même titre que celui de l’employeur. Or, dans notre cas, seul l’employeur tire un avantage de cette situation ; Il s’agit d’un contrat de travail léonin, avec l’apparente bénédiction de tous, sauf les victimes bien entendu.

Encore à l’oeuvre : bénéfices privés, pertes publiques et sociales. Comme il n’y a jamais eu de guillotine en Grande Bretagne, je suggère la pendaison, ou au moins les galères. Arès 2 ou 3 victimes, tout rentrerair dans l’ordre. C’est peu, mais très efficace.


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