Cet article dit comme moi que les anticorps artificiellement générés par le vaccin ne PEUVENT PAS rencontrer la toxine : on n’en sort pas, et c’est mathématique. Tout le reste est verbiage creux. Au passage, pour qui n’a pas que le mépris en bouche, la théorie des microzymas de Bechamps reste un sujet d’un grand intérêt. Béchamps était d’ailleurs un savant d’une toute autre envergure que Pasteur, le voleur et l’escroc).
- Le bacille tétanique lui-même est totalement anaérobie, et ne peut se développer et survivre en présence de sang normalement oxygéné. D’où la nécessité d’une plaie contuse atteignant préférentiellement le muscle pour qu’il puisse générer la maladie. Les anticorps n’ont donc pas accès à lui, et de toute façon, ils ne sont pas spécifiques du bacille mais seulement de la toxine.
- La toxine tétanique (seule cible présumée des anticorps magiques soi-disant neutralisants générés par la vaccination), migre depuis la plaie contuse jusqu’au système nerveux central, par imbibition progressive des filets nerveux présents auprès du foyer infecté. Elle ne passe jamais par le milieu sanguin, et reste donc en permanence dans le milieu INTRACELLULAIRE, à l’abri des anticorps magiques qui restent sagement dans le sang et la lymphe.
- Tout ceci explique que la maladie tétanos ne confère aucune immunité, et que les gammaglobulines spécifiques antitétaniques, d’origine humaine ou tirées ou cheval sont parfaitement inutiles dans le traitement de cette maladie une fois déclarée.
- Ce qui explique de façon caricaturale que la vaccination antitétanique comme la sérothérapie sont totalement inefficaces, toujours !