@rené descendre
De Montbazon, il n’y a rien à dire, absolument rien, ce qui qui n’empêche pas... mais je préfère ne pas expliciter ce rien.
La seule fois où j’ai eu affaire à des extraterrestres, ce n’était pas à Montbazon, mais sur la côte normande. A une dizaine de kilomètres au-dessus de Dieppe, au nord de Berneval, il y a un tout petit village : Saint-Martin-Plage. On descend sur la plage par ce qu’on appelle en Normandie une « valleuse », une sorte de vallée ou de faille, assez profonde. A Saint-Martin, la valleuse se termine par un escalier. C’est là que cela se passe, en général au milieu de septembre. Quatre ou cinq grands vaisseaux cylindriques d’une centaine de mètres de long, vers quatre heures du matin, se posent sur le sable ; ils y restent trente-huit minutes. Le temps de pomper une bonne partie de l’énergie électrique produite par la centrale atomique de Penly, au nord de la plage, à douze cents mètres à peu près. Ensuite ils repartent. Ils ne viennent pas, comme moi, des confins de l’univers, mais du petit nuage de Magellan. La banlieue, en quelque sorte. Ils se montrent discrets, peu de gens les ont aperçus. Moi, je les ai vus trois années consécutives, le 15 septembre, à l’heure que j’ai dite. Si vous ne me croyez pas, faites le voyage. Cela devrait justement se reproduire dans moins d’un mois. Et tenez-nous au courant !