Certes, le mot histoire est martelé à chaque phrase de ce texte, mais sans jamais décoller vers une vraie histoire qui saurait fonder un sens ou une aventure plus intelligible. Peut-être, vouloir résumer l’histoire depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours en 50 lignes est un peu présomptueux et tout à fait impossible. Si bien qu’il n’en reste presque rien. Vous avez déjà produit bien mieux, mais il est vrai qu’un 21 août, vous pouvez vous permettre une sorte de réflexion pastis en terrasse sans aucune téléologie sous ce soleil qui écrase toutes perspectives. 
Je sais que vous êtes honnête et que vous accepterez ma critique mordante et bienveillante à la fois. Parce qu’elle est probablement assez juste.