Bonsoir Bernie,

l’article sans mot cherche son dernier mot,
mais un autre article cherche celui-ci (  ). Le clin d’oeil est à moi-même puisque vous c’est moi, moi c’est vous et lui sait tout. Mais comme nous sommes fous, cela ne surprendra personne.

Certains articles se passent de lecture et font de longs commentaires,
mais d’autres commentaires furent interdits de lecture et zapper par le Roi Censure.

Je crains que vous n’ayez raté quelques bons mots, mais ne serait-il trop sournois
d’abuser de wms ? Le seigneur fatizo a fait un sacré coup de nettoyage.
C’est que monsieur ne brille que par son souci de la brillance de ses pages,
seuls subsistes les « méchants adulateurs jaloux de son succès » et
« ses adieux à la foule en délire », même ses dessous de table se sont volatilisés,
quel canaille dans cette pagaille. Je ne savais pas que Dame Rosemar vous avait replié autrefois, quelle saugrenue manière ! Ca déraille un peu sur l’Agora, ça se chamaille entre shaman et langue de bois.

Badinerie dites-vous ? Alors en 3 versions,
puisqu’il faut l’art et la manière pour Dame Rosemar et sa formation,
et puisque tout n’est que variation sur le thème en ces lieux :

Badinerie de Jean Sébastien Bach - Bwv1067 suite orchestrale n°7 :

1) Version classique, non moins sublime, Ton Koopman, orchestre baroque d’Amsterdam.
2) Version métal, un régal d’humour et d’électrique par Evil Masquerade (’tension ça joue).
3) Version inattendue, (menuet en introduction) magique, ma préférée, par Richard Galliano (accordéonniste de son état) mais qui là, joue sur un accordina.

Pour la badinerie littéraire, z’avez vraiment raté d’bons mots . Mais comme il y était écrit, de sages internautes ont pris soin de bien tout conserver. Just a clic, & hop wonder magic software, mais juste derrière, just a clic aussi et flop...................................................

En bons joueurs, ne vaut-il pas laisser à ce seigneur un temps de repos, lui qui se dit que ça nous passera à nous-mêmes, mais chut, ne le disons pas trop fort, il pourrait nous entendre.

Je préparais un joli mot pour Dame Rosemar justement, prenant bien soin de transmettre mes amitiés à son cher ami, lui disant que nous pensions bien à lui, mais lui nous ignore pensez-vous, nous sommes trop »bas" pour ce monsieur.

Et vous mon cher Bernie, comment vous portez-vous ?

Dame Rosemar, la musique vous plait ? Par trop déçue ?  
Que je ne vous y reprenne plus !