Ah enfin une réponse, mais complètement à côté.
Parce qu’à côté des mots de votre ami, « lâche » ou « zéro »
c’est enfantin, j’en conviens.
Donc toujours dans le mépris le plus total, mais j’entrevois un léger début de
bon sens, car en effet, l’insulte amène l’insulte (quoique vous remarquerez que les
siennes ont plutôt entrainé un certain humour afin de ne pas imiter ses
mauvaises attitudes).
Et en toute logique (vous en avez de toute évidence plus que lui), je vous
rappelle qu’en matière d’insultes, votre ami est sultan, et que c’est son acte
odieux qui a déclenché une réaction réfléchie, qui l’a mené droit à son
auto-mutisme.
Tout cela est pour le moins cocasse, n’est-ce pas ?
Il est à noter qu’AgoraVox et/ou les modérateurs n’ont pas jugé souhaitable de
permettre la publication de votre article aujourd’hui. Je ne peux que féliciter
cette sage décision.
Peut-être demain ? Espérons jamais ? La surenchère ne m’intéresse en rien, mais
son billet d’excuses est toujours d’actualité, et ce jusqu’à ce que votre ami
s’y applique.
Ben, revenons à la musique, qui vaut mille fois plus que tout ceci.
Alors puisque nous avons trois protagonistes avoués, fatizo, vous et AJE, il me
semble approprié de vous proposer un trio, celui de Franz Schubert, oeuvre
célèbre dont je pense que vous n’ignorer pas le thème, qui fut choisit par
Stanley Kubrick pour accompagner certains passages de ce film extraordinaire,
« Barry Lyndon ».
Il s’agit donc du 2ème mouvement, andante con moto, du Trio
pour piano et cordes n°2 op.100.
Nous devons cette sublime interprétation aux français du Trio Wanderer.
Vous pourrez apprécier l’extrême complicité qui lie ces hommes et la
sensibilité dégagée par ce thème qu’ils se « passent », passant chacun
de la mélodie à l’accompagnement.
Je vous laisse profiter de ces 9 minutes 30 de bonheur.
Pour conclure après cette écoute, je voudrais simplement évoquer un regret au
sein de votre trio : Vous avez le rôle le plus important et le plus dur, AJE
occupe une place moindre d’accompagnateur dont le style est un peu lourd, mais
fatizo ne fait rien, c’est inadmissible !
Tout au plus il donne de petites directives, qui se trouvent en plus être de
forts mauvais conseils.
Puissiez-vous vous détacher un peu de ce personnage, vos qualités et votre
réussite s’en trouveraient grandement récompensées.
Télé thon serait même encore plus « rigolo » et je ne me verrais
en rien offensé par ce surnom.
Vous souhaitant une belle soirée Dame Rosemar,
je vous invite à croire à la sincérité de mes propos.
P.S : Pour l’inconscience, il faudra revoir la définition, sans doute. Ceci dit, je vous laisse développer l’idée prétendue, selon laquelle d’après vous, je ferais preuve d’inconscience.
Ah, juste une question, pourquoi vous adresser à Bernie et moi de façon distincte maintenant ? Y aurait-il une certaine reconnaissance de l’erreur de fatizo à en déduire ? Merci d’éclairer ma conscience...