Le capitalisme actuel vise à détruire les services publics pour que
ses marchés passent dans le secteur privé. Ce transfert est aussi
attendu financièrement par les multinationales et les banques que les
reconvertions dans le privé des politiques et des hauts fonctionnaires.
Les restrictions de budget dans les services publics sont successives
et toujours vers le bas, ses baisses financières malgré les réelles
possibilités d’investir davantage vise à faire accepter la future
privatisation auprès des populations et du personnel. Pour renforcer le
démantelement des services publics, sans passer par l’avis des citoyens.
Les politiques, soutenus par les multinationales et les banques, votent
des lois ou des traités comme le TSCG qui transferts les
interprétations des budgets et des suppressions nationales à effectuer,
qui sont en réalité déjà cibler.
Les lois de finance qui définissent le budget de l’Etat et le
financement de la sécurité sociale sont alors décidés par des
technocrates non élus et en conflits d’intérêts avec des grandes marques
privées.
Le modèle privé s’installe dans le public avant son absorption
complète. Surcharge de travail sans contrepartie quelconque avec
exigeance d’une hausse constante des résultats chiffrés, contrats
précaire et bas salaires généralisés, durcissement des relations
sociales sur le lieu de travail et aussi moins de contrôle du public sur
le privé avec son lot de risques multiples et « la confiance » des choix
du privé pour l’intérêt général. Une dégradation du niveau de vie que
les tenants du privé et les politiques expliqueront par des mots
investir, compétitivité, privatisation,ect...