Les données du problème sont simples. Nous payons tous pour des salaires et retraites disproportionnées d’un secteur public et parapublic pléthorique et très peu efficace.
C’est le principal boulet de notre économie et le principal obstacle a une vraie politique sociale.
Les principales causes des déficits et de la dette.
C’est officiel, chiffre, http://www.fonction-publique.gouv.fr/files/files/statistiques/jaunes/Jaune2012_pensions.pd f
Tous le monde le sait a peu pret.
Le problème politique est ailleurs. Les prébendiers et leurs clients ( ceux qui bénéficient de leurs miettes) cela fait un petit 40% de l’électorat. On parvient a y rajouter quelques jeunes sortis le crane bourre de l’école, avant que la vie ne leur apprenne le réel, quelques braves gens abêtit par nos médias médiocres, qui sont tous dépendant de l’état pour leur survie,
Et de temps e temps, la gauche puisque c’est elle, gagne une élection importante raz les moustaches.
Mais cela ne fonctionne que quant il font taire leurs divergences sur un partage extrêmement inegalitaire du gateau entre eux. Quand ils ont chaud aux fesses, par exemple quand un remarquable président tente vraiment de limiter les dépenses publiques, malgré le chantage syndicale et la pression médiatique par, il parviennent a l’unité.
Les vraies divergences ne sont pas idéologiques. Elles tiennent surtout a un type de rapport a la dépense public. Les statutaires arrive et a l’aise dans leurs baskets sont socialo, les intermittents précaires etc... sont trotskiste, les A sont PS, Les b coco.
Les PS ont toujours su préserver leurs retraites privilégiées, les autres, c’est plus tangent.
Les divergences actuelles reflètent ces combats égoïstes
Tous ce qui peut les renforcer contribuera a une nouvelle alternance.
Il est donc juste et bon de jeter le plus d’huile possible sur le feux.
Extrait du Nouvel Obs ( journal de la gauche arrivée et repue)...
"Alors Pierre Moscovici va plus loin.
"La hausse des cotisations patronales conséquente à la réforme des
retraites sera intégralement compensée par une baisse des cotisations
famille dès 2014 et pour l’intégralité du mandat", dit-il. Et ce n’est
pas tout. "Les prélèvements obligatoires qui pèsent sur les entreprises
vont baisser« , dit-il. »Le CICE ne referme pas le dossier du coût du
travail, il faut aller plus loin". Le ministre promet notamment
l’ouverture d’une concertation sur la réforme du financement de la
protection sociale dans les jours prochains, avec un point d’étape avant
la fin de l’année."
Et ouais les gars, pour preserver leurs avantages et ne pas désespérer les employeurs, le PS est en train de faire un deal sur votre dos, parce que cet argent, vous n’avez pas la naïveté qu’il le prendra aux seules familles ? Ou Si ?