Les russes seraient-ils visés ... aussi ? rassurez-moi ...
Ce n’est pas ce que j’ai dit. J’ai simplement observé que la flotte russe présente une menace crédible dont il faut tenir compte. Ce n’était pas le cas en Libye, par exemple.
Quant au Chevalier-Paul, ses Aster 30 lui permettent de faire face à une attaque d’une trentaine de missiles supersoniques (http://www.netmarine.net/armes/aster/). Le problème est que, une fois ses aster tirés il devient une proie de choix.
Si l’on considère l’est méditerranéen comme un front OTAN/Russie, on observe que Poutine est militairement en mesure de donner un ultimatum aux forces de l’Otan pour les contraindre à se retirer, sans préjuger d’autres formes de chantage qui lui interdiraient cette option. Juste, militairement, sur le papier, les forces sont équilibrées.
Du coup, nous observons un basculement des opinions publiques...
Les Russes ne pouvaient que les surveiller et les suivre, mais ils
pourraient facilement transmettre leurs données aux Syriens qui
pourraient alors continuer à défendre leur espace aérien , même si leurs
propres radars étaient détruits ou endommagés.
Merci pour cette
précision importante que je n’avais lue nulle-part ailleurs. Elle renforce l’idée qu’aucun navire occidental ne
se risquera à porté des missiles sol-mer syriens et complique
sérieusement les opération aériennes.