un papier complet sur l’hypothèse criminelle « le 11/3 est le 11/9 des japonais » :
http://blogdogcicle.blogspot.ca/2013/03/we-are-being-exterminated-fallout-from.html
Les sismographes ne mentent pas, le séisme était en dessous de 7, comme le montre la salle de rédaction du journal de Sendai où les imprimantes restent sur les bureaux, malgré le séisme. La rédaction a été emportée par la vague.
Concernant le nombre de morts, l’ancien directeur de la centrale est mort d’un cancer de l’œsophage il y a 2 mois. On est sans nouvelles des 50 héros qui sont entrés dans l’enceinte du 3 peu après l’explosion.
Sur les milliers de travailleurs payés par les mafias japonaises, on a très peu de nouvelles, tout est sous contrôle du gvt japonais. Mais on sait qu’on envoie les mecs avec des dosimètres recouverts de plomb !. ça doit être un massacre.
Y Shimatsu fait le compte des décès 2011/12 et dit que Fuku a laissé sur le carreau 6000 morts de plus qu’habituellement, décomptées les victimes surnuméraires du séisme/tsunami :
http://rense.com/general95/isfuku.html
La zone de Tokyo jusqu’à 100km au dessus de la centrale aurait du être évacuée, soit 40 millions de personnes. Les japonais vivent sur des terres dont les taux de radioactivité ont commandé aux soviétiques l’évacuation des habitants après Tchernobyl.
La radioactivité peut provoquer des arrêts cardiaques, des morts subites, qu’on imputera bien évidemment à fond de l’air un peu frais !
Pour le reste, ce sera des millions de personnes affaiblies, malades à divers degrés en fonction de leur exposition, bref un massacre à l’échelle d’une génération.
Ne parlons pas du précieux génome, dégénéré pour des générations.
On verra les statistiques de mortalité au Japon à fin 2013.