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Commentaire de Cassiopée R

sur Le revenu de base, une solution pour les retraites


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Cassiopée R 9 septembre 2013 14:16

Les multinationales pour s’implanter utilisent notamment les zones franches, les paradis fiscaux pour entreprise, qui se situe souvent à la périphérie de la ville. Exonérations d’impôts sur près d’une décennie, pas de taxes pour importer des leurs machines, constructions d’infrastructures (routes, hôtels,...) au frais du contribuable, syndicats absents ou volontairement très marginal,ect...tous ses avantages impensables pour les auto-entrepreneurs, petites et moyennes entreprises.

Les fonds d’investissements ou de pensions des multinationales grâce à l’aide politique peuvent investir sur tous les secteurs d’activités sur (presque) tous les pays de la planète afin de produire plus. Les négociations aboutissent parfois sur un nombre non limité de production et un accès aux ressources territoriales d’un pays pour une multinationale sur la surface d’un pays. Tous ses investissements non régulés et très faiblement réglementés finissent par détruire le tissu local.

La stratégie économique pour maximiser les gains financiers sur les salariés des multinationales est à la fois de délocaliser les industries et les services dans les pays à faible coût du travail, sans protection sociale et moyen de revendications quelconques. Distribuer des salaires de misère pour à peine de quoi survivre, aller dans des pays où l’on autorise le travail des enfants et un vide législatif sur l’environnement pour créer des pollutions gratuites nombreuses et diverses : déversement, Co2, terres « fertiles » locales,...Dans les pays où les délocalisations ont eu lieu (en Occident notamment), généraliser les contrats précaires à bas salaires sans hausse dans le temps, négocier des baisses de salaires avec les syndicats sous divers prétexte, s’intégrer dans un processus budgétaire de rigueur nationale pour en tirer partie ou des contrats à titre gratuit.

Les conditions pour permettre à une multinationale d’investir dans tous les secteurs d’activités : industries, alimentaire, immobilier,...pour devenir rapidement ultra-rentable par la hausse des prix passe par le soutien des politiques par la loi (législatif) et juridique (la justice), et l’ Etat ou les Etats leurs reversent des centaines de millions ou des milliards d’euros régulièrement.

La surfacturation est pratiquée, hausse fictive des prix et des tarifs divers sans aucune raison économique ou financière et que le justice ne pourra pas pénaliser, ceci afin de faire plus d’argent. De plus, la spéculation est devenue au stade de spécialisation des fonds d’investissements des multinationales. Ce qui commence par acheter les prix bas sur les marchés financiers en créant une hausse des prix afin de généraliser des prix élevés pour faire plus de profits. Puis maintenir les prix artificiellement élevés et encore les augmenter, si baisse parler de crise (entre guillemets en réalité) dans les médias avec les experts, les lobbies en sous main et les professionnels du secteur d’activité.

S’assurer tout en exigeant des rendements futurs très élevés, ainsi ne pas prendre de risque en cas de problème et encaisser des profits par leurs projections financières peu importe les situations. De leurs côtés, les salariés et les petits producteurs qui ont vus leurs droits du travail diminuer par ses contrats (juteux) ne sont pas concerner par l’assurance pour être rembourser, même si les gaspillages (alimentaire,ect...) sont colossaux.

La multinationale peut parier sur ses propres résultats à la bourse, et peut donner de faux résultats financiers pour un maximum de profits en pariant sur sa propre multinationale. Il y a aussi de conflits d’intérêts avec d’autres multinationales ou banques, avec la complicité des autorités financières. Une baisse rapide de la valeur boursière (ce qui arrive) de la multinationale ou d’autres de ses investissements va créer une destruction de l’argent. Ce gaspillage financier par la disparition de l’argent en bourse provient du travail des humains, des ressources naturelles comme l’énergétique, les forêts, les minerais, l’eau, les denrées alimentaires, les captures massives d’espèces,ect...

Les montages financiers se font aussi lors de plan social définitif et de délocalisation avec un plan social. Par exemple, inciter les petits acheteurs ou les salariés à acheter des actions avec la connaissance du changement de la valeur boursière, avec entente entre spéculateurs et dirigeants de grandes entreprises, suite à l’incitation à acheter les actions en bourse et les manipulations de leurs gros porte-feuilles de leur multinationale pour empocher un maximum d’argent même en sachant qu’il y a un plan social et une délocalisation. Les multinationales sont contre-productives aux sociétés humaine et à la vie, et ne profitent qu’à une minorité capitaliste au détriment de l’intérêt général.


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