Une petite suggestion pour l’enfouissement des déchets consécutifs aux démantèlements : Il doit bien y avoir de la place chez les nombreux commentateurs si prompts à taper dès lors qu’une tête sort du rang de l’acceptation infligée par lobotomisation. Un peu sous le lit de Machin, quelques trous dans le jardin de Truc, un colis ou deux dans le taxi, ça doit bien se caser sans problème 
Sinon, un autre moyen,qui fait d’une pierre deux coups : On ne démantèle pas, on aménage simplement les lieux en résidence privée pour ces êtres supérieurs et infaillibles, qui pourront ainsi bénéficier des charmantes effluves dont l’innocuité, selon eux, n’est plus à démontrer. De plus, cela permettra d’identifier clairement les territoires. Ils auront ainsi l’occasion d’avoir une paix royale et de nous la foutre par la même occasion, et on fera de substantielles économies qui pourront être affectées à la recherche de nouvelles manières de produire et distribuer de l’énergie en remplacement de ces vestiges d’un âge révolu.
On pourrait recycler les zones d’exclusion et leurs logements vides (quelques menus travaux à prévoir, prix dérisoire) à destination de cette espèce en voie d’extinction, et y stocker leurs préssssccccieux souvenirs (inutile de les mettre en container, faut faire des économies)
Tiens, il y a une ferme en vente à Minamisoma : Faudra juste penser à effacer le mesquin graffiti laissé par l’ingrat propriétaire précédent avant qu’il ne se pende dans la grange.
Suggestion de lecture de rentrée : la trilogie « Chromozone » de Stéphane Beauverger. sous-titre : Il n’y a plus de place en ce monde pour la bêtise.