Dans une société d’influence judéo-chrétienne comme la nôtre, c’est surtout sur les femmes qu’il faut compter pour espérer appliquer l’idée de génie proposée par l’auteur... Car les hommes sont eux toujours disposés à l’appliquer, en général !
Mais hélas, notre société d’influence judéo-chrétienne apprend aux femmes dès leur plus jeune âge à refouler leurs pulsions et à être avare de leur corps, à ne surtout pas céder au 1er qui leur plaît : la gourmande est diabolisée comme une traînée tandis que la sainte-nitouche est mise sur un piédestal.
Résultat, certaines femmes ont fait leur métier de la satisfaction sexuelle d’hommes laissés pour compte par cette pudibonderie perverse.
Pour se convaincre de mes propos, réaliser une expérience simple :
-Prendre 10 femmes au hasard entre 20 et 40 ans. Leur demander, à chacune, d’aller proposer crument et directement un rapport sexuel à 10 hommes qu’elles auront chacune choisi au hasard dans la rue. Elles auront en moyenne un taux de réponse positive supérieur à 90%.
-Prendre 10 hommes au hasard entre 20 et 40 ans. Leur demander, à
chacun, d’aller proposer crument et directement un rapport sexuel à 10 femmes qu’ils auront chacun choisi au hasard dans la rue. Ils
auront en moyenne un taux de réponse positive inférieur à 10%.
Le jour ou le taux de réponse positive sera de 99% dans les 2 cas, on pourra bénéficier des bienfaits de l’idée géniale de l’auteur. Mais cela demande un changement en profondeur de la société.
D’ici là, il faut reconnaître la prostitution d’utilité publique et permettre à celles et ceux qui en vivent de le faire dans un cadre légal et propre, si l’on veut que tout le monde bénéficie des bienfaits de l’idée géniale de l’auteur.
Parce que sinon, ces bienfaits seront essentiellement réservés à des hommes ayant surdéveloppé certains défauts comme l’hypocrisie et le baratinage, et à des femmes mal considérées par la société (les nymphomanes qui ne font finalement qu’adopter un comportement normal de mammifère femelle, mais que notre société diabolise).
Le commun des mortels ne pouvant accéder à ces bienfaits que dans le cadre d’une monogamie potentiellement routinière à longue échéance...