Malgré le bon sens voulue d’une hypothétique spécialisation et initiative privée,la charité est tout aussi condamnable que le moins disant social et fiscal.
Je vais prendre un exemple moins connus : ceux qui ont un certain handicap(syndrome d’asperger) plus ou moins invisible,ne trouve pas de job.Le marché ne reconnaît que ceux qui ont un handicap visible et sont subventionnés d’aides publics.Les autres demandent l’AAH et doivent parfois revenir chez des parents pas toujours bienveillants.
Et tout ce que je dit est une forme de pauvreté:empêcher les uns en raison d’une étiquette à faire valoir leurs capacités même un temps soi peu très spéciale(quand intérêt spécial corrobore avec une compétence recherché par un employeur) et les obliger de dépendre du bon vouloir des autres.
La pauvreté n’est pas seuleument monétaire ou matériel : n’a t’on jamais vu autour de nous de camarades de classes qui jouissait d’un bon niveau apparent de vie,en ayant cependant peu de cultures,peu de ressources intellectuelles car considérés comme inaptes en raison de moultes préjugés ?
A vraie dire la pauvreté me choque et je reprends un mesure de thomas picketty : la refonte de notre fiscalité et une refonde de la fiscalité sur les patrimoines qui je trouve favorise trop ceux qui possèdent déjà et défavorisent d’autres qui n’ont pas pu accumulé pour x ou y raisons.
Il ne s’agit pas de dhésabiller paul pour habiller jack mais que les plus fortunés soient astreints de payer de par leur capacité contributive leurs impôts.
Accessoirement:des initiatives citoyennes pour lutter contre les trafics d’influences et de lobbyng.Si la police ni l’armée ou l’état ne peut lutter et bien nous mêmes citoyens coalisons nous contre ces ploutocrates illégitimes.
Et si vous voulez me refuter:le faire dans les règles,pas de déformation abusive.