Les grands médias qui ont rendu compte avec force détails depuis quelques jours du mouvement des partisans du « Yes week-end », n’ont pas eu la curiosité d’enquêter sur les origines de ce mouvement .
Les journalistes chiens de garde du système n’ont rien vu, ils ne servent que de chambre d’écho , des agit’ propres, préoccupés par les faits divers qui scandalisent ou qui font pleurer .
On apprend pourtant facilement , par exemple avec le Huffpost - pas vraiment des gauchos- que les furieux vendeurs de matos du dimanche sont encadrés et financés par Leroy Merlin et Castorama, et ceci depuis décembre 2012 pour faire « bouger le gouvernement » : un lobby en somme, relayé indirectement par le MEDEF .
Et ça marche, un peu comme le mouvement des « pigeons » : ce gouvernement froussard nomme aussitôt le Jean Claude Bailly pour une mission de deux mois pour évaluer cette loi , autrement dit, une belle reculade, car à l’issue des deux moix, le Bailly de service sera bien obligé de faire « des concessions » pour faire une loi à la carte .
En même temps, qu’attendre de l’ex patron de la Poste ( 67 ans, 620.000 E en 2012) qui a transformé la Poste en société anonyme avec de gros problèmes sociaux ?
www.huffingtonpost.fr/2013/09/30/leroy-merlin-castorama-collectif-bricoleurs-travail-du-dimanche-communication