Bravo pour votre article.
Bon....Plantu a gagné quelques pleins de gazoline.
Ou aurait dessiné Plantu pendant la guerre, dans quelle revue...On est en droit de se le demander.
Qui a permit, dans la direction du monde, de publier ce dessin ?
Car on sait qu’il y a des refusés....
Quel est le but ?
J’ignorais cette histoire de Quatar accablante !
Sans doute ne gagnait il pas assez au monde, hein....moins sans doute qu’un footballeur du paris saint germain payé par le même quatar....
Ces gens là distribuent chaussures de foot, crayons, et gommes tout aussi surement !
Il suffit de savoir dire merci
L’argent gagné sur le dos des esclaves indonésiens ou du bengladesh crevant à la construction des stades olympiques n’a pas d’odeur.
Plantu ne s’est pas planté !
Il nous a planté une banderille dans le cul.
Ce type vous dira qu’il travaille lui aussi le dimanche, et qu’il ne voit pas le problème, puisqu’il envoie son dessin par mail au monde par tous temps dehors, à n’importe quelle heure.
Cette positon est donc progressive, et en accord avec la modernité américaine, celle de wall mark , et ces gros gras, encore plus épais et méchants que ceux de la CGT.
Là bas, dites seulement le mot « syndicat », et toutes les sirènes se mettent à hurler !
Les humoristes ont il le droit de se foutre de la gueule des gens ?
Ah le brave homme.
je dis ça, parce qu’un qualificatif autre me monte à la tête, et que je me sens tout à coup une âme de gros bras de la CGT !
Un intéret à ce genre de dessin : Faire remonter la révolte.
Marie Antoinette n’est pas très loin avec son histoire de brioche.
Sans doute une bévue regrettable.
Il arrive que le bourgeois face un impair, trop coupé de la troupe.....
C’est le mot de séguéla, déclarant qu’un homme qui n’a pas une rollex à 50 balais a raté sa vie.
Voilà pourquoi on se rappelera longtemps de ce dessin, que Plantu n’a pas fini de trainer comme un boulet
.
Quelque part il est utile, dans ce qu’il nous montre. Je ne parle pas de sa pertinence et de sa bétise, mais d’un certain état d’esprit de ceux qui nous gouvernent