Commentaire de ROBERT GIL
sur L'Honneur perdu d'Emmaüs, et des autres...
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La compassion est une vertu capitaliste, la pitié est habillement mise en scène et évite toute réflexion politique.
Toutes les associations qui aident
les pauvres et les laissés pour compte feraient bien de revendiquer
l’abolition de la misère, plutôt que de l’accompagner. Mais la charity-bizeness, permet
de passer sous silence les véritables flots d’argent que l’on
distribue aux plus riches : le paquet fiscal ou les
remboursements d’impôt n’en sont qu’une partie ! Et au final, ce sont les
contribuables qui payent l’addition.........
voir : COMPASSION ET CHARITE
Derniers commentaires
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10/10 16:56 - Serge ULESKI
Merci pour cet éclairage. A suivre. Alerter la presse ? C’est à voir. Mediapart, (...)
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10/10 13:13 - Roche
Excellent l’auteur !!! Je n’ai cessé de dénoncer ce système associatif qui (...)
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09/10 10:14 - spartacus
Les bons sentiments ne dispensent pas de la responsabilité. Le « capitalisme solidaire » (...)
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09/10 09:25 - ZenZoe
Sur Martin Hirsch : le symbole même de la dérive de l’humanitaire. Enarque opportuniste (...)
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09/10 09:05 - ZenZoe
Puisqu’on est sur le sujet du charity business, il faudrait aussi dire un mot sur ces (...)
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09/10 08:51 - ZenZoe
Bravo pour l’article ! Le genre qu’on aimerait lire plus souvent sur AV, à (...)
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