La lutte des classes est une chimère idéologique Marxiste.
Cette chimère ubueque est propagée de nos jours par une caste de pleutres étatisée et fonctionnarisés qui se retrouvent entre eux en ignorants primaires qui n’ont jamais mis les pieds de leur vie dans une entreprise privée.
Prisonniers de leurs choix statutaires, jaloux de la liberté individuelle, ils en sont resté à Zola et Marx et refusent l’émancipation individuelle car la liberté leur fait peur. Ils se réfugient dans des idéologies ubuesques pour ne pas s’avouer le matin devant leur glace leur assouvissement à l’étatisme qui les achète leur lacheté de ne pas être autonome.
Le travailleur s’engage librement par contrat et reçoit un salaire en échange de son travail.
La lutte des classes part de l’idée qu’il existe une opposition irréductible entre les intérêts des travailleurs et ceux des patrons. Il est libre de ses choix.
Il n’y a rien de plus contraire à la réalité, dans un marché libre que la lutte des classes.
La destruction créatrice fait passer l’individu dans différents stades,
Les patrons sont en concurrence les uns avec les autres, et leurs efforts pour attirer les meilleurs salariés, permettent l’émancipation individuelle.
La lutte des classe se résume à une luttes de privilégiés en droits sociaux protégés par l’état et leurs corporations ; pour que chacun vive de la production créée par les autres.