Non, vous voulez que mon discours soit tel.
Mais si vous me relisez attentivement (soit en abandonnant vos envies de me moucher), vous verrez que tel n’est pas le cas.
Et tant que vous êtes à la relecture, tâchez un peu de vous relire parce que vous êtes proprement imbuvable à vous adresser aux autres de la sorte.
Quant à ce que j’ai écrit, voilà :
« La résidence alternée n’est pas un dû et vous pouvez compter tant sur vos adversaires que sur les JAF à qui vous le soutiendriez pour vous démentir.
Elle dépend en effet de ce petit tas de circonstances qui font qu’elle est préjudiciable ou qu’elle va dans l’intérêt de l’enfant. »
Y voyez vous autre chose que l’intérêt de l’enfant ?
Mais vous ne voulez pas voir, « Madame ».
Vous voulez simplement faire étalage de vos principes et de votre besoin de rabaisser l’autre.
Vous prétendez au seul intérêt de l’enfant ?
Souffrez qu’il puisse se trouver ailleurs que dans ce que vous voulez être la règle immuable.
Comprendre la souffrance des pères n’est pas rejeter l’intérêt de l’enfant.
En revanche, le dogmatisme est une attitude inique.
Je ne plaide pas pour une résidence alternée de droit et systématique mais pour qu’elle puisse être plus facilement la règle, et pas seulement une mesure prise quand la mère est d’accord.
Et d’ailleurs, entre un DVH classique et une RA, il y a des tas de possibilités d’aménagement, dans l’intérêt de l’enfant.
Pouvez-vous avoir un dialogue utile ou voulez-vous continuer sur ce ton ?