L’auteur.
« Car les mêmes qui refusent les fessées sont souvent ceux qui veulent que l’école s’adapte à l’enfant ou supprimer les notes. Ne se rendent-ils pas compte qu’ils construisent un monde totalement schizophrène qui rend de plus en plus violent le passage à l’âge adulte, générant des souffrances bien plus grandes que celles d’une fessée ».
Ce passage est un régal de bétise et de sophisme.
Mais me met dans une colère froide !
Ainsi la violence adapterait l’enfant à un monde plus dur. ...
Si c’est le cas, alors il faut rattraper notre retard, car il me semble que la maternelle est bien peu en édaquation avec les exigences de compétition où se trouveront plongées nos chères petites têtes blondes.
Les salafistes, à se sujet, voient surement plus clair que nous....
Rouvrons la prison de la petite roquette, à Paris, où le tiers de ces petits vagabonds misérables mouraient après leur enfermement.
Rouvrons Belle ile, et son péntencier pour enfants, d’où partirent les premières loies en faveur de l’éducaiton surveillée, rompant avec une histoire qui faisait l’enfant le corollaire du diable, des siècles durant.
Un jour, les enfants se mutilèrent, prirent les clés aux matons et s’éparpillèrent aux quatre coins de l’ile. Certains même gagnèrent le continent, sur des barques volées.
Quand on les reprit, ils furent fouettés, comme les esclaves marrons.....
L’opinion , tout à coup, s’inversa. Elle qui avait pris fait et causes pour les bourreaux, s’étonna tout à coup qu’on puisse frapper ainsi des enfants, et se regarda dans la glace.
ceci se passait dans les années 20. Prévert en fit un poème ::.....
Bandits voleurs assassins, c’est la chasse à l’enfant, la chasse des braves gens....
Je vous laisse à vos notes et à vos certitudes ronflantes, qui valent celles d’un bourreau ou d’un technocrate stalinien, se lavant à la lessive des mots et des phrases creuses, ne cachant même pas leur dogmatisme et leur bétise.