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Commentaire de Loatse

sur Leonarda l'égérie des médias : faut-il supprimer la nationalité ?


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Loatse Loatse 21 octobre 2013 14:06

Abolir la notion de nation, de patrie, de nationalité c’est la porte ouverte à toutes les fenêtres...

Supprimons la nationalité et les enfants de demain se retrouveront ballotés d’un pays à l’autre suivant la fantaisie de leur parent (hors nécessité impérieuse comme guerre, famine, persécution poitique bien sûr).. leurs attaches coupées( camarades de classe, amis, voisins), perdus au niveau linguistique et donc scolaire (comment étudier lorsqu’on change sans arrêt de pays et qu’il faut à chaque fois apprendre une nouvelle langue ?)

Je ne sais pas vous, mais moi j’ai besoin de stabilité alors à plus forte raison les enfants... Les miennes fréquentent encore leurs amies de maternelle..

La stabilité, la continuité, l’enracinement contre une certaine « flexibilité » car il me semble que c’est de cela qu’il s’agit lorsqu’on veut priver tout citoyen du sentiment d’appartenance à une nation...et qu’on qualifie ce sentiment légitime d’archaique... (au mieux), aimer son pays est de plus en plus assimilé à du fascisme... il est de bons nationalismes et des mauvais pour nos « amis » de gauche (la corée du nord, le vénézuela : bon, la france : pas bon !)

Tout ce fatras en mode « progressisme » et comble du culot « droitdel’hommisme » n’a qu’un but, la création de l’homme nouveau celui qui au nom du progrès, au nom de la tolérance, de la générosité ou de tout autre sentiment dévoyé sera dépouillé non seulement de son identité mais encore de sa dignité (« louer son ventre ? ca ou travailler en usine »)..

Dignité, patrie, pays, famille, religion..... tout ceci est appelé à disparaitre selon la volonté de cerveaux malades qui prennent les nations européennes et leurs peuples pour des cobayes, interchangeables au point qu’on en vient à substituer ceux ci à d’autres dés lors qu’il ne sont pas assez prolifiques/dociles... 

L’homme d’un futur pas si lointain, né d’une mère porteuse, sans racine, à qui l’on otera jusqu’à l’histoire de ses ancêtres (de coeur ou de sang) pourra t’il encore se définir comme francais ou espagnol ou autre ? ou comme simple entité sans genre défini posé provisoirement à telle latitude et telle longitude...

C’est un tout...





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