<<<<<<<<<Lorsque vous reprenez ma phrase : <<<<< nous sommes contraints de changer notre façon de raisonner si nous
voulons faire face aux défis qui se présente à nous actuellement (cf. Pierre
RABHI : La crise n’est pas financière mais humaine et spirituelle).<<<<<
quel est le rapport entre ce que je dénonce sur notre façon de
raisonner et la courte vidéo de Pierre RABHI mise en lien sur votre
cite ?<<<<<<<
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Je vous renvoie à vos propres paradoxes de prôner (par les mots de Pierre Rabhi que vous reprenez, ou de vous même car à force de tout mélanger avec des citations, il est facile de ne plus savoir qui dit quoi) un « changement de façon de raisonner » tout en restant dans votre sémantique/raisonnement Freudien.
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<<<<Il serait utile que vous le précisiez, car manifestement, il n’y en a
aucun. Vous mélangez tout.<<<<
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Comprenez-vous qu’à donner des leçons on doit aussi en prendre ? (et ça marche aussi pour moi).
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<<<<votre
approche est ’simpliste’ au sens où votre dictionnaire définit ce terme.<<<<
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Affirmer 20 fois la même chose ne donne toujours pas d’exemple concret d’élément intervenant dans le raisonnement et l’invalidant.
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<<<<<Alors, lorsque Pierre RADHI dit des choses qui vont dans votre sens,
c’est un exemple, mais lorsqu’il dit des choses, par personnes
interposées, qui n’entre pas dans votre vision du monde, ses mots sont
creux ???<<<<<
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N’auriez vous pas un peu fantasmé ?
Vous citiez Rabhi, je vous le site aussi. Point.
Et OUI, Rabhi dit des choses creuses et que vous les reprenez, ne change rien à leur caractère creux.
Et OUI, un même être peut interpeller sur certains thèmes, et laisser froid sur d’autres.
Vous cherchez l’absolu ou quoi ? C’est tout ou rien avec vous ? Et dire que vous pensez que les autres « manquent de finesses » dans leurs raisonnements...
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A propos des soi-disant paradoxes :
<<<<après les avoir posées à plusieurs
reprises et en avoir relevé encore une autre aujourd’hui (cf.
ci-dessus), vous ne les comprenez pas...<<<<<
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L’exemple du dessus n’étant pas bon puisqu’en fait, s’il y a paradoxe, c’est celui de Pierre Rabhi à dire à la fois que le problème vient du système, à la fois vient de l’humain (même si à mon avis, il pense que cela vient des deux vu les interactions / mais d’un point de vue commercial, il faut mieux dire « améliorons-nous » plutôt que "améliorons-nous et abandonnons le système monétaire).
Bref, on attend toujours la liste réelle des paradoxes des différentes discours que vous relevez...