Déjà en 2008, la presse nationale ( l’Express par exemple) claironnait la bonne affaire réalisée par EDF qui avait racheté British Energy ( au prix de 15,7 Md au lieu des 6 Md réels que certains l’estimaient ) .
Six ans après, on découvre que cette « bonne affaire » ne visait qu’à installer EDF-Areva et son EPR en Angleterre, pendant que les prévisions de chantiers dans d’autres pays s’effondraient, comme aux EU .
Les chantiers de Flamanville et en Finlande montrent que les EPR sont des catastrophes économiques que nous paieront pendant des générations, mais les décisionnaires préfèrent la fuite en avant, comme à la grande époque gaullienne du tout nucléaire, sans débat démocratique .
Une décision négative de la commission européenne relative au prix vendu aux anglais du MWh - plus du double du prix actuel - serait un coup d’arrêt à l’intox d’EDF .