@ Marc CHINAL, bonjour,
Le propre d’un ignorant qui se prend pour intelligent, c’est qu’il croit pouvoir donner des leçons sur un air condescendant tout en évitant d’en prendre.
Il existe une différence fondamentale entre nous. C’est que de mon côté je ne cesse jamais de m’informer, d’apprendre, de comprendre, voir de partager : ce que j’ai pu maintes fois démontrer en prenant connaissance de tous vos liens auxquels vous m’avez renvoyés ; alors que de votre côté, votre seul intérêt est d’imposer vos points de vues et votre science du simplisme : ce que vous prouvez également dans chacune de vos interventions en ne prenant jamais soin, ou de faire un minimum d’effort, de jeter un œil, ne serait-ce que curieux, sur les liens auxquels je vous renvoie.
Cela porte un nom (plusieurs en fait) et je vous l’ai déjà dit : prétentieux. Et cela vous rend arrogant.
A la lecture de votre dernier message, il apparaît donc clairement que c’est bien vous qui ne faîtes pas la différence entre causes et mécanismes. D’où votre confusion entre cause et effet dont vous n’avez de cesse de m’affublez.
Je vous ai déjà dis votre problème, il est en fait très simple : vous rejouez selon un autre modèle la guéguerre de l’innée et de l’acquis (toujours d’actualité je dois le reconnaître chez les scientifiques incapable de se remettre en question, ou... souhaitant exercer un pouvoir hégémonique sur les autres disciplines).
L’eugénisme vous connaissez ???
C’est à cela que conduisent les excès de votre approche. Mais encore faut-il pour le percevoir quitter les pantoufles confortables de la pensée binaire.
Lorsque l’on rencontre quelqu’un dont le raisonnement, sous des apparences cohérentes, est chargé de contradictions (j’en ai démontré plusieurs, mais je doute que vous les ayez perçues), il ne reste plus guère d’autre choix que le raisonnement par l’absurde.
A ma question : « quelles sont, selon vous, les causes du rire ??? »
Vous répondez : « Réaction nerveuse liée à une information qui ne trouve pas dans un premier temps, une étiquette « survie/pas survie », stable. »
Or, qu’est-ce qu’une réaction ?
Vérifions... réaction : [...] PHYSIOLOGIE, réponse à un stimulus ; PSYCHOLOGIE, comportement qui répond à une excitation.
Donc, cette réaction nerveuse qui provoque le rire n’est qu’une conséquence d’un évènement extérieur à soi. Dans le cas du rire, cet évènement extérieur (la cause) induit une situation de danger relatif dont « l’information ne trouve pas dans un premier temps, une étiquette « survie/pas survie », stable ». La source du danger relatif analysé et la peur ’oubliée’ va déclenché le rire. Nous sommes bien d’accord.
Il n’en demeure pas moins que la cause reste extérieure. Elle est conjoncturelle (lié aux contexte de la situation), puis structurelle (la mécanique du rire).
Si comprendre comment notre cerveau traite l’information est essentiel à l’heure actuelle car cette connaissance a été éludé jusqu’à présent, il n’en demeure pas moins que ce traitement de l’information est circonstanciel (qui dépend des circonstances). Supprimer l’analyse de ces circonstances dans n’importe quelle science, cela revient à faire de la « science sans conscience », de l’eugénisme (favoriser l’innée au détriment de l’acquis alors que nous savons pertinemment désormais que tout est épigénétique) ou à n’observer que les parties sans tenir compte du tout (alors qu’avec les découvertes en physique quantique ont pu démontrer que l’observation était interdépendante de l’observateur), etc., etc., etc.
Il manque à votre explication du rire un élément important que vous n’avez de cesse d’éluder pour la simple et bonne raison que si vous l’intégriez, il faudrait sérieusement compliquer votre explication simpliste du rire, ce qui va à l’encontre des objectifs fixées par votre ’science’. Et je dois reconnaître que ce simple élément est une problématique pour beaucoup, beaucoup de monde. Comme le confirmait le site Wikipédia (et bien d’autres sources) que je n’avais pas consulté avant de vous en faire part, cet élément est l’empathie : « Aujourd’hui, on commence à comprendre ce qui confère au rire cette
dimension de partage irrésistible. Il s’agit probablement de phénomènes
d’empathie assez fondamentaux, faisant intervenir les systèmes miroirs
du cerveau, probablement les neurones miroirs : le psychologue Leonhard
Schilbach, de l’Université de Cologne en Allemagne, a ainsi montré
qu’une personne qui commence à rire suscite auprès de ceux qui
l’observent une activité des neurones impliqués dans la contraction des
muscles zygomatiques (impliqués dans le rire), même quand l’observateur
ne rit pas lui-même. Il se produirait ainsi une préactivation de
l’activité neurologique liée au rire par simple observation. L’être
humain serait en quelque sorte « précâblé » pour le rire, et plus
particulièrement en situation sociale ou communautaire ».
Avant de vous précipiter dans vos accusations puériles, vous feriez mieux de tenter de comprendre ce que signifie ces explications et ne pas éluder comme vous le faîtes constamment, les informations qui vous dérange.
Pour conclure, sur une de vos remarques dans votre post du 26/10 16:52 : « c’est toujours amusant de croire qu’on a plusieurs cerveau : celui des émotions, celui de l’intelligence, celui de la peur, celui des maths, etc. Les émotions sont extrêmement faciles à comprendre, à condition de ne pas prendre des causes pour des effets ». Ayant pu démontrer ci-dessus que la confusion entre cause et effet était plutôt de votre fait, je n’ai aucun mal à comprendre le rôle des émotions, mais encore faudrait-il ne pas confondre leur rôle avec leur traitement par le cerveau.
Un autre niveau de confusion à solutionner pour pouvoir accepter que chaque émotion suit un chemin différent dans notre cerveau et que le concept de cerveau des émotions a pour but d’en trouver le parcourt afin de comprendre comment certaines altérations ou traumatismes cérébraux perturbent l’expression des émotions et modifient la personnalité. Mais il est sûr que lorsque l’on s’adresse à quelqu’un qui met le cerveau des émotions, de l’intelligence, de la peur, des maths, etc. dans le même sac, sans s’informer par ailleurs (ignorant et fier de l’être), il est très difficile de pouvoir avoir autre chose qu’un dialogue de sourd (très loin d’un débat).
28/04 20:54 - Aita Pea Pea
@Jane En même temps un papier sur ces connards narcissiques...faut pas rêver.
28/04 20:18 - Jane
@Marc Chinal vous êtes hyper agressif et insistant..... comme c’est désagréable.....
28/04 18:54 - Jane
@Philippe VERGNES Bref , A ma conclusion ! très personnelle, beaucoup de parents ne devraient (...)
28/04 18:50 - Jane
@Philippe VERGNES Enchanté Monsieur, c’est un article qui date. Cependant, j’ai (...)
07/07 14:49 - Julie
Disons qu’en systémie. Si on veut provoquer du changement. On considère que les (...)
26/11 20:42 - Marc Chinal
Ma question : le pervers est donc pour vous « l’inverse » (à quoi ? on ne saura jamais) (...)
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