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Commentaire de In Bruges

sur La gôche, ce rêve inaccessible


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In Bruges In Bruges 29 octobre 2013 14:50

Siatom et Yohan :

« Et c’est ainsi qu’Allah est grand », disait Alexandre Vialatte dans ses chroniques de La Montagne.
Je suis en train de les relire, à présent qu’elles sont toutes ( les 900) compilées par son fils dans une belle édition ( chez Robert Laffont).
Comme je suis un peu morbide, je suis allé direct à la dernière, écrite quelques semaines avant sa mort, le 25 avril 1971 ( la chronique, pas sa mort).
Cette dernière chronique s’apelle Fiesta ( ...)
On y lit :
« Il est bon d’apprendre très jeune le peu d’importance des cadavres ».

Et puis aussi, cette phrase prémonitoire :
« Je n’ai jamais le temps de dégorger le vingtième de ce que j’accumule, et plus tard, ce sera trop tard ».
Bref, en lisant Siatom, je sais pas pourquoi, je pense à Vialatte ( alors qu’en lisant Morice, non. Etonnant, non ?)

Bref, puisque c’était le quart d’heure culturel et que vous faites, M’sieur Siatom, dans la chronique, et ben ziwa, je soumets à vot’ saga de cité encore une maxime de ce boufon sur les gros nique ( euh, les chroniques) :
«  Une chronique, il faudrait la faire pousser comme une herbe dans les fentes d’un mur, dans les pierres de l’emploi du temps ».

Je vous souhaite du temps, Siatom.

PS : t’ention, j’ai pas dit que ce body buildé de Siatom est le nouveau Vialatte, sinon Lautaret y va encore arriver à la salle de muscu en disant « yep, suis le nouveau Vialatte des développés/ couchés ».
Mais bon, on l’aime bien, Siatom.
Siatom, y s’appellait.

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