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Commentaire de Christian Labrune

sur Mélenchon et ces nigauds de Bretons


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Christian Labrune Christian Labrune 5 novembre 2013 09:46

@Siatom

Je plaide coupable, ma trahison est bien d’un parfait salaud et je le reconnais volontiers. Je suis prêt à faire amende honorable et je ne vois pas un meilleur moyen de le faire que de vous réconcilier avec Alinea en démontrant que vous avez raison tous les deux. « Ses diatribes oblitèrent son talent qui est indéniable » écrivez-vous. Et de fait, il (Mélenchon) me fait penser à un autre orateur à petite moustache qui ne manquait pas de talent, du côté de Nüremberg, lorsqu’il s’agissait de remuer les foules. Et lui aussi était, du moins à ce qu’il semble, « propre sur lui », et très sobre, et d’un hygiénisme extrême. A Münich dans sa jeunesse, il avait bien dû tâter un peu de la bière, mais plus tard, il ne supportait jamais qu’on fumât en sa présence, ce qui est un bon signe. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, lui non plus « n’éructait pas d’insultes » : il parlait seulement une langue gutturale généralement assez mal comprise de ce côté du Rhin. La conductrice de l’autre « Front », elle, a très bien compris cela, qui se rendra sans répugnance à Vienne, le jour anniversaire de la libération de camps qui n’ont progablement jamais existé.

J’évoquais un certain nombre de grands hommes, dans ma première intervention, mais j’en ai oublié un : le grand, l’incorruptible Robespierre, grâce à qui et au bon docteur Guillotin, nous devons la très belle épuration de la grande Terreur. On ne comprendra rien à la pensée de Jean-Luc Mélenchon si on ignore cette référence incontournable.

Les Bretons actuels avec leurs bonnets rouges ne sont pas sans faire penser à ces abominables Vendéens contre-révolutionnaires de 93 qu’il a bien fallu exterminer un peu. Jean-Luc Mélenchon, qui est un véritable révolutionnaire, nous a déjà très bien expliqué qu’il ne fallait pas parler de « génocide ». Quand on massacre la vermine contre-révolutionnaire, c’est pour la bonne cause et ça ne peut évidemment pas être un génocide. A la Cabaña, le Che en a fait aussi éliminer plusieurs centaines, n’hésitant pas quelquefois à mettre lui-même la main à la pâte. C’est ça, la révolution, et sans ces mesures cohérentes, la révolution n’aurait jamais triomphé. Nous n’aurions pas sous les yeux, par exemple, la Corée du Nord dirigée par le génial Kim Jong-un. Cela reste l’exemple, avec le Kampuchéa démocratique sous Pol Pot, de ce que l’humanité peut produire de mieux.


A propos de la propreté d’Adolf, on pourra consulter cet article dont je n’ai lu que ce début que je recopie plus bas. Ca paraît rigolo.

http://schikelgruber.net/hitlerL.html

Hitler avait une maladive horreur de la saleté. Et cette phobie explique bien des actes de son
- pour employer un euphémisme- comportement de maniaque-névrosé. En premier lieu, ce qu’on sait de sa mère permet de penser qu’elle était elle même une maniaque de la propreté domestique et de l’hygiène personnelle. Quand un Allemand tourne maniaque, on atteint des grandeurs insoupconnées en pays latin. Certains en conclurent en tout cas que l’apprentissage à l’hygiène du jeune Adolf avait du être particulierement soigné notamment la période que les anglo-saxons désignent sous le terme poétique de potty-training. Certains enfants éprouvent un malin plaisir à déféquer hors du pot et/ou à refuser de faire sur le pot (les anglo-saxons parlent alors d’enfant « anal-retentive »).



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