Il y a peu de racisme en France, mais l’idéologie antiraciste a besoin d’en inventer pour justifier la terreur permanente qu’elle exerce. En même temps elle affirme que les races n’existent pas, surtout la race blanche, coupable de tout les maux et promise, punition et rédemption, à disparaître dans le métissage universel prôné par cette idéologie. L’antiracisme est devenu un instrument de coercition inquisitoriale. On n’ose plus même poser une question sur le nombre d’immigrés que le pays peut accueillir par peur d’être dénoncer. La bondieuserie antiraciste est la plus pernicieuse entreprise de domination de l’homme depuis les totalitarismes du XX° siècle.
Une poignée de cons vandalisent un cimetière musulman, un excité insulte grossièrement Mme Taubira, est La France est devenue raciste. Non, la France n’est pas raciste. Le racisme existe, bien sûr, mais il est tout à fait marginale. Il y a peu de racisme en France. D’autre part, l’islamophobie, un autre mot inquisitorial affectionné par les dévots antiracistes, n’ rien a faire avec le racisme. Même si, depuis quelque temps, le Français de souche ne se sent pas toujours tout à fait chez lui, il ne le dit pas, parce que cela ne se fait pas. Trente années d’antiracisme primaire sont passées par là. Dès son plus jeune âge, l’autochtone trentenaire a appris que la France est un pays multiculturel et que l’islam est « la deuxième religion de la France ». Le mettre en question serait une dérive raciste. Evidemment, un tel matraquage laisse des traces dans les esprits. Aller lui parler de la culture française et l’identité nationale et il vous considéra, avec une mine effarée, comme un grand malade irrécupérable. Jamais, lui, ne proférer de pareilles propos nauséabonds. Il faut être fasciste dans l’âme pour imaginer un danger d’islamisation du pays là où il n’y a que les pauvres victimes de notre féroce et ancienne colonisation.