Certainement pas, ça se fait par des moteurs à gravité différentielle parfaitement compris mais je ne pas déposer de brevets car c’est interdit. Les machines surunitaires sont interdites, ça ne l’est pas vraiment mais ils vont le croire parce que les « cerveaux » du CERN bloquent tout avec leurs magouilles. S’il s’amuse à tuer chaque preuves, ça ne passe pas. Je peux vous dire que je les envoyé chier sur l’antigravité et il le savent. De toute façon le Cern n’a plus aucun avenir, c’est un mouroir.

Je travaillais dans le BTP, et savez vous pourquoi tout fut bloqué ?

Parce que malgré un doctorat et un post doc et 22 ans de réflexion, une patronne disposant de son CAP de secrétariat s’est permise de fourrer son nez dans une théorie qui révise la relativité faisant transmettre dans mon dos mes travaux inachevés à mon insu « pour m’aider » mais surtout parce qu’ils prennent les gens pour des objets. Un vol pur et simple qui a compromis les andouilles du Cern qui n’ont rien pigé et ont fait des conneries. Quand ils ont vu que c’était le mec a qui ils avaient piqué les idées pas mal d’années plus tôt qui leur transmettait les résultats, et qu’il avaient fait un contresens de compréhension, ils ont tout planté pour éviter la honte ou garder les voyages spatiaux secret. Ils se croyaient peinard, sauf que la théorie permet de rebondir sur l’antigravité et que Jésus est au commande car c’est son message qui revient justifié par la science et que la Vierge fait beaucoup d’intervention depuis 2 siècles.

La petit secrétaire, avec son petit cerveau et son gros égo, elle a planté la recherche mondiale, sans compter les rumeurs débiles qu’elle a propagé pour se justifier et tout le monde s’est mouillé dans les combines. La mémère vieille fille du BTP et ses petits acolytes, elle a géré ça comme quand elle s’engueule « Mohammed » qui ne sait pas lire et pas écrire et qui baisse la tête pour ne pas se faire écraser car il est sans défense.

Elle s’est mêlée d’Einstein et de plus de 150 ans de débats scientifiques théoriques comme de sa poêle à frire dans sa cuisine. Il n’y a pas de limite dans le cerveau d’une poule bourrée de pognon et de pouvoir qui met des notes pour noter des ingénieurs comme a l’école maternelle !!! Et toute la société fonctionne comme ça. Les femmes adorent parler de ce qu’elles ignorent et propager leur psychoses parce que mémère patronne s’est prise du prozac comme vous vous prenez du sucre.

Voulez vous que je casse dans un autre pays pour harcèlement par jacasserie de bécasses, même le gouvernement, les grands du BPT et de l’industrie ont suivi et faisaient des allusions. Il m’a fallu trois ans pour remonter la piste pas à pas, virer les connards d’amis compromis, virer ma femme qui a menti..... la bécasse ou ses serviteurs sont intervenus dans toutes mes relations. J’ai eu droit a des psycho dans mon dos pour me faire renoncer ou accélérer parce que certains ont du croire que j’avais un problème. Pétasse CAP se mêle d’antigravité comme si c’était aussi simple que de poser un caniveau et tout cela dans le dos sans jamais rien me dire pour que je ne puisse pas comprendre et reprocher quoi que ce soit. J’aurais pu rentrer dans les combines mais je cherche la vérité, je ne suis pas commercial. On m’a tendu des allusions mais malgré les souffrances que le doute crée, je ne n’ai jamais mordu à cet appât pourri.

Voyez vous, une fois que les gens sont rentrer dans le mensonge , c’est fini, ils ne diront plus jamais la vérité mais voudront vous corrompre et ils en arrivent à une coercition mentale totale. Voila pourquoi personne ne dit rien sur les attentat du 11 septembre.... alors que tout le monde sait. Même le Cern a failli donner le Nobel a plusieurs milliers de chercheurs honnêtes pour mouiller tout le monde. Le mensonge est une prison pour l’esprit, les chaînes invisibles de Pierre...

Quand vous êtes correct, on vous traite de nouille et si vous vous fâchez, on vous dit qu’on ne cède pas à la menace. Comme il n’est pas question de s’agenouiller devant l’iniquité alors j’espère que le monde va retenir cette leçon.