• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Tenebrae Blacknight

sur Lettre à Mme Taubira au sujet de la dictature européenne


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Tenebrae Blacknight Tenebrae Blacknight 9 novembre 2013 19:01

Femme de gauche ou bien de rien
Bien souvent c’est le même barratin
Femme agrégée, groupie, ou écrivain
Qui écrit de longs articles en vain
Dédiés à la dernière des causes à la mode
Pour se faire mousser auprès de Jean-Luc
Son mentor, sa muse, son idole, son duc
Toujours à l’affût du moindre truc

A guetter l’actualité pour en sucer le suc
De sa villa piscine en sereine terre

Personne n’oserait écrire de telles odes
A part peut-être Ariane Walter

Femme mi publique, mi privée
Lorsque l’actu devient la guerre
Y a pas de gonzesse aussi énervée
Pour jouer les grands reporters
Avec ces fanatiques, fous-furieux
Abreuvés de haines et de bières
Déifiant les crétins en rouge,
Insultant les salauds en bleu
Y a pas de gonzesse qui se bouge,
Autant qu’elle ne le peut
Y´en a pas deux chez les bourges
A part bien sûr Ariane Walter

Femme au pseudonyme emprunté
Aux prénoms de ses enfants,
Elle s’engage en toute fierté,
Contre tous les moulins à vent,
Qui lui reviennent à la figure
A force de s’emmêler les pinceaux
Dans ses propres contradictions
Nouvelle Jeanne d’Arc de bon augure
Elle s’imagine, être en mission
Aucune femme n´est assez vulgaire
Pour replier les commentaires sots
A part peut être Ariane Walter

Femme de terrain, farouchement, elle milite
Contre tous les affreux racistes antisémites
Parc´ que la vue de la flamme tricolore

Elle supporte pas, l’humaniste carnivore

Parc´ que dans les rangs de ses ennemis
Tous ceux qui ne pensent pas comme elle
Et occasionnellement les communistes
Elle les replie, elle les bannit, cette femelle
Pas une femme n´est assez fasciste
Pour astiquer un homme à terre
Et se sentir embellie
A part bien sûr Ariane Walter

C´est pas de son cerveau féminin
Qu´est sorti le fil à couper le beurre
Et cette femme n´a pas sur les mains
La sueur des travailleurs
Ouvriers et paysans
Témoignent du fond de leurs ghettos
Qu´ils n’ont pas besoin d’elle
Comme porte parole si faux
Elle fait honte aux coeurs vaillants
Qui manient pics, pioches et pelles,
Tout le monde a compris leur misère 
A part peut être Ariane Walter

Femme qui adule un sénateur
Un franc maçon un usurpateur
Quand la force de Mélenchon ne tient
Que dans ses discours creux et ses insultes
Elle se laisse hypnotiser
Comme la proie par le serpent
Elle a été jusqu’à sacrifier
Sa crédibilité pour un agent
Au service de ceux à qui elle croit faire la guerre

Pauvre tartuffe manipulée
Jean-Luc, en guise de poupée
S’est offert Ariane Walter


(Inspiré des paroles de Miss Maggie de Renaud Séchant)


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès