Robert Gil,
Surtout, continuez bien à faire comme si l’ UE n’existait pas...
« France, les trois réformes exigées par Bruxelles »
Dont la flexibilité du travail, la réforme des retraites, la fin des CDI, et si c’était possible une baisse substantielle des salaires, comme en Allemagne avec les Lois Hartz, qui ont fait chuté tous les salaires de 10%.
Pourquoi ? Parce que « les marges bénéficiaires des entreprises françaises sont les plus faibles de la zone euro ».
Parce qu’il faudrait sortir de l’euro, faire une dévaluation du franc de 25%, ce qui rétablirait la compétitivité des produits français par rapport à l’ Allemagne, sans toucher aux salaires, ni au CDI, ni aux retraites, ni à la Sécu, et créerait 2 millions d’emplois.
Mais tous les européistes, font du « franco-français », pour éviter la question de la sortie de l’ UE et de l’euro.
Ils pleurnichent beaucoup sur le sort du pauvre peuple, mais font tout ce qu’ils peuvent pour éviter de poser la question de la nocivité de l’euro sur les économies de l’ Europe du Sud...
Deux économistes analysent la question, Olivier Berruyer sur la nocivité de l’euro, et Philippe Murer sur tous les avantages que procurerait la sortie de l’ euro :
« Y-a-t-il une vie dans l’euro ? Et une vie après l’euro ? »