Oscar Fortin
Encore une fois, je ne prétends pas connaitre la vérité Vénézuélienne. j’avais beaucoup d’admiration pour Chavez, mais , travaillant sur votre article, j’ai trouvé bien des témoignages assez gênants et que je n’utiliserai pas pour rester fidèle à mon opinion première. Le lien que je donne (1000 000 de départs en un an) me semble assez sérieux.
Je crois que le pape François joue l’apaisement, ce qui est son rôle. J’ai été très surpris, au lendemain de l’émotion causée par la mort de Chavez, de l’étroitesse de la victoire de son successeur désigné (dont je souhaite la réussite). Son opposant n’est apparemment pas perçu au Vénézuéla de la manière manière que par vous.
enfin
"Ce seul débat cette audience accordé à Capriles confirme que ce dernier a
atteint son but : faire parler de lui et des thèmes qu’il a lancés :
prisonniers politiques et émigration.«
Personne ne parlait ici de Caprilès avant votre article et le Vatican n’a manifestement donné aucun éclat à cette audience, contrairement à ce qui s’était passé lors de la visite de Maduro.
J’espère vous retrouver avec moins de désaccords. Je ne suis pas »papophile" comme le prétend Maugis, mais, actuellement les occasions de s’enthousiasmer sont rares.