@ Olivier Perriet
Par vous, si vous vous en sentez capable, cher ami.
N’hésitez surtout pas, si le coeur vous en dit. Faites comme Daniel Roux, Oncle Archibald, Devphil, tous ceux qui contribuent quotidiennement au débat d’idées, ici, dans d’autres tribunes, dans d’autres rubriques.
Vient un moment où il faut bouger, prendre une décision. Malgré les apparences, les combats sont faits de mouvement. Si vous restez sur votre position, vous vous ferez aligner.
Vous connaissez bien évidemment cet aprhorisme célèbre de J. Claretie : « »Tout homme qui dirige, qui fait quelque chose, a contre lui ceux qui voudraient faire la même chose, ceux qui font précisément le contraire et surtout la grande armée des gens, d’autant plus sévères, qu’ils ne font rien du tout."
Dans un pays, il y a ceux qui parlent. Ceux qui pensent . Et ceux qui bougent.
Alors faites comme moi.
Montez au feu.
Cette décision est moins dangereuse que l’extrait cinématographique (de circonstance) qui suit, certes, mais il faut avoir la volonté, les capacités et le courage de la prendre.
Ce que vous ignorez, mais que je vous apprends dès à présent, c’est que je procède depuis un bon moment à un échange de vues avec le Cabinet du Président. Et que ce soit avec lui ou un autre, jsoyez-en sûr , j e gagnerai. Savez-vous pourquoi ? Parce qu’à la différence de lui, jle temps joue pour moi et je sais où je vais.
Cordialement,
Ci-après, un extrait d’un extraordinaire film :