« À ceux qui sommeille et aux naïfs dans le monde »Vive la révolution, Viendra le jour où..... ! « Image de la femme symbole de la révolution »
« Détruire l’ambition démesurée des dirigeants pour libérer les peuples »
« Le jour de la révolution est arrivé »
Viendra le jour où... L’échine courbée tête en sol le regard en bas. Cesserons ces attributs. disait-on. Prolétariat vaincra. Viendra. Où. Peur au ventre retournée la peur au ventre. Retourné l’angoisse promise du dit laquais. Renversez. Le temps où les mauvais rejetons malmené(e)s cesseront de chuchoter. Où voix basse encore. Entamer. Situation retournées. Viendra même de nuit. Viendra la sécession de salive ravalée. Nous pauvres dans société grasse. Prendrons l’arme en main. Cesserons de la retourner contre nous. Pauvres comme on peut. Pâles face en places habités nous occuperons. Organisé. L’atome des villes explosé. Rendu comme. Commun pour. Mieux se retrouver. Sans sanglots étouffés sans retenu apprivoisée cent mille sur les parterres dessoudés. Il n’y aura plus de désolés. Plus de matin où se lever. Pour les biens que l’on prive. Si privé de vie nous étions. Arme en main nous la prendrons. Vitres teintées démasqués patrons avec et sans pardon. Viendra le livre gratuit viendra servez vous la valeur annulée. Les portiques et les denrées partagées. Démasqués. Les leurres mis au jour et les sourires mis à noir. Chanterons les barreaux tombés en main les bourreaux au loin. Courrez ou libérez. Les rues accueillantes de leurs bras de fer les orphelins. Ces coins ou nous retrouverons la joie de l’expropriation. Curées laïques, monnayeurs de cœurs, démocrates fascistes, vendeurs de mort : tremblez, Viendra votre jour finira. Le vieux monde tremblera d’entendre murmurer les âmes en peines et les solitaires assemblés. Reprendre l’arbre par l’arme. Viens. Comme cette vieille luge abandonnée je t’emmènerais bien danser. Sur les ruines de leurs transparences brisées. Démasqués. Les paroisses de trajectoires lasses. La grande vitesse déraillée. Le plomb et l’amiante de la modernité retournée. Vers. Par et pour. En échantillons de ce qui vient quelques colis piégés. Devenir le paquet incertain. Notre jeunesse ne sera plus le mutin et vos coffres seront nos butins. Ce qui vient c’est une course à pied. La machine est faire de la chaire de vos mains. Donner son temps c’est encore assurer le maintien. Combien as-tu donné à ces échangeurs de misère. Comment as tu failli à ce qu’il te restait de lendemain. Nous y sommes. Le bas peuple des incertains se soulève. Mondialiser la révolte tu l’as pensé. Viendra le jour viendra le jour. Viens reprendre l’arbre. Et le lendemain....
Un illettré. France, décembre 2011. 