« Autant des fois vous dites des choses intéressantes, autant des fois vous êtes un vrai con. »
@bourricot
J’avais oublié un mot dans ma petite intervention : « le principe de précaution si CHER à nos chers écologistes ». J’ai du mal à me pardonner cette erreur, cette redondance qui devait ajouter pas mal d’ironie à ma formulation, mais pour le reste, je n’ai aucun regret. J’en rajouterais même plutôt une couche, comme on dit familièrement.
Et d’abord ceci : le principe de précaution aurait dû m’induire à ne pas
revenir sur cette page où je me fais traiter de con. Le fait que
l’injure ait été proféré par un autre qui se sait un âne ne change pas
grand chose à l’affaire.
En fait, très cher Monsieur Bourricot, je ne me suis jamais soucié d’éduquer « mes » enfants. Le principe de précaution m’a toujours dissuadé d’en faire, étant absolument incapable (et je ne suis pas le seul) de leur garantir une vie éternelle. J’ai été professeur, j’ai dû instruire entre quatre et cinq mille citoyens de ce pays, mais quand ils mourront, je n’y serai pour rien. C’est une satisfaction.
S’il faut parler de psychiatrie, permettez-moi de vous faire remarquer qu’il n’y a pas de colonne vertébrale dans votre intervention. C’est une simple suite de phrases sans articulations logiques, aboutissant à une vocifération injurieuse ; c’est cela qu’on appelle parataxe, et c’est toujours un motif d’inquiétude pour les psychiatres qui reconnaissent là les symptômes caractéristiques de ce qu’il appellent « bouffée délirante ».
L’écologie, dans sa radicalité conduisant à ce que les Américains appellent la « deep ecology », constitue elle-même un délire collectif assez grave puisqu’elle conduit à envisager la suppression de l’humanité pour qu’enfin la pure nature puisse à jamais rester « naturelle ». Au reste, un certain nombre d’intervenants sur cette page ne s’y sont pas trompés puisqu’aussi bien ils réclament ironiquement eux aussi l’élimination de l’espèce humaine.